Batch cooking : préparation de plusieurs repas sains en une seule session
Batch Cooking : gagnez du temps et savourez chaque repas

Dans un monde où le temps semble toujours manquer, réussir à bien manger sans passer des heures en cuisine relève parfois du défi. Pourtant, il existe une méthode simple, efficace et de plus en plus populaire

Et oui, batch cooking permet de concilier organisation, plaisir et alimentation saine. Cette technique vous permet de préparer plusieurs repas à l’avance en une seule session de cuisine, tout en conservant des plats faits maison et équilibrés. Chez jemportemesrestes.fr, nous sommes convaincus qu’il s’agit là de bien plus qu’une tendance : c’est un mode de vie qui simplifie votre quotidien.

Batch cooking : préparation de plusieurs repas sains en une seule session

Le batch cooking : un art de vivre qui simplifie votre semaine

Le batch cooking, littéralement « cuisson par lots », est une approche qui consiste à cuisiner en une seule fois les ingrédients ou plats nécessaires pour plusieurs repas à venir. Cette méthode s’adresse autant aux familles pressées qu’aux célibataires soucieux de leur alimentation, car elle réduit le stress des préparations de dernière minute et évite le recours aux plats industriels. En adoptant cette pratique, on s’engage dans une démarche proactive pour maîtriser son alimentation, réduire le gaspillage alimentaire et économiser du temps et de l’argent.

Ce concept ne se limite pas à cuisiner en grande quantité, il s’agit aussi d’anticiper et d’organiser ses repas pour toute la semaine. Cette planification intelligente permet de varier les plaisirs culinaires tout en garantissant un équilibre nutritionnel. Elle nécessite seulement une session de cuisine plus longue, souvent le week-end, qui se traduira par des soirs libérés, sans stress ni improvisation.

Pourquoi le batch cooking séduit-il autant ?

Face à la multiplication des obligations professionnelles et personnelles, il devient difficile de consacrer quotidiennement du temps à la préparation de repas sains et gourmands. Le batch cooking offre une solution clé en main, pensée pour répondre aux attentes des consommateurs modernes. Au-delà du gain de temps évident, cette méthode donne un sentiment de contrôle et de satisfaction en évitant le recours à la restauration rapide ou aux plats préparés industriels.

En outre, le batch cooking s’inscrit pleinement dans la démarche éco-responsable. En préparant ses repas en amont, on limite considérablement le gaspillage alimentaire, en utilisant les ingrédients au juste besoin et en optimisant les restes. Par ailleurs, ce mode de préparation favorise l’utilisation de produits frais et de saison, essentiels pour une alimentation saine et durable, comme le recommande le site officiel du Programme National Nutrition Santé (PNNS).

Pour les sportifs, le batch cooking est également un allié précieux, permettant de contrôler précisément les apports en protéines, glucides et lipides nécessaires à la performance et à la récupération. Mais il est accessible à tous ceux qui souhaitent manger mieux sans passer leur vie en cuisine.

Comment adopter le batch cooking sans stress ?

L’idée n’est pas de transformer la cuisine en corvée, mais au contraire d’en faire un moment structuré, plaisant et efficace. Le secret réside dans une bonne organisation, une planification réaliste et le choix de recettes simples à préparer en grande quantité. Il est important de sélectionner des plats qui se conservent bien au réfrigérateur ou au congélateur et qui peuvent être facilement réchauffés sans perdre leur saveur.

Le choix des contenants est aussi crucial pour réussir son batch cooking. Il est recommandé d’opter pour des boîtes hermétiques de qualité, adaptées au micro-ondes et au lave-vaisselle, afin de faciliter le stockage et la réutilisation. Sur jemportemesrestes.fr, vous trouverez des conseils pour bien choisir vos contenants, en privilégiant les modèles en verre ou inox qui sont à la fois durables et sains.

Un autre aspect clé pour adopter le batch cooking sans stress, surtout en sortie ou au travail, est de penser à la doggy bag, ou l’art d’« emporter ses restes ». Cette habitude permet de réduire le gaspillage alimentaire et de profiter pleinement des repas préparés à l’avance, même hors de chez soi. En choisissant des contenants adaptés, faciles à transporter et hermétiques, vous pouvez emporter vos portions restantes au bureau, en pique-nique ou en déplacement, tout en conservant la fraîcheur et la saveur de vos plats. Ce geste simple s’inscrit parfaitement dans une démarche zéro déchet et pratique, que nous valorisons particulièrement sur jemportemesrestes.fr.

Enfin, pensez à varier les textures et les saveurs pour éviter la monotonie : associez légumes croquants, céréales complètes, légumineuses et protéines maigres. N’hésitez pas à revisiter vos classiques en les adaptant à une préparation en batch cooking. Cette approche garantit des repas équilibrés et gourmands, à la fois pratiques et savoureux.

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Une main jette une salade fraîche non consommée dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.
Gaspillage alimentaire : comprendre les causes pour ne plus fermer les yeux

Jeter de la nourriture, c’est aussi jeter du temps, de l’eau, de l’énergie et du travail. Derrière chaque aliment gaspillé se cache une ressource précieuse perdue.

Chaque jour, des tonnes de nourriture encore consommable finissent à la poubelle. Le gaspillage alimentaire, souvent invisible, est pourtant l’un des enjeux majeurs de notre époque. En comprendre les origines permet d’agir efficacement à tous les niveaux de la chaîne. Derrière ce fléau se cachent des causes profondes, culturelles, économiques et comportementales.

Une main jette une salade fraîche non consommée dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.

Chaque année, des tonnes de nourriture partent à la poubelle. Ce fléau invisible nous concerne tous.

La scène se répète partout : des fruits flétris au fond du frigo, des plats oubliés sur une étagère, des produits jetés dès la date « limite » atteinte. En France, près de 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année, selon l’Agence de la transition écologique (ADEME). Ce gâchis, pourtant évitable, est provoqué par des mécanismes souvent silencieux, ancrés dans nos habitudes, notre économie et notre perception de la nourriture. Analyser les causes du gaspillage alimentaire, c’est poser les bases d’un changement durable.

La pression de la chaîne agroalimentaire : produire toujours plus, coûte que coûte

Le gaspillage commence bien avant que les aliments atteignent nos assiettes. Dans les champs, une part importante des récoltes est perdue, écartée pour des raisons de calibrage, d’apparence ou de demande fluctuante. Les fruits et légumes « moches », jugés non conformes aux standards esthétiques de la grande distribution, sont souvent abandonnés ou sous-valorisés. Les producteurs, soumis à une logique de rendement et de contrat, n’ont parfois pas les moyens logistiques pour valoriser ces invendus. Le système agroalimentaire, fondé sur une logique industrielle, incite à surproduire pour éviter la rupture de stock, au détriment de l’efficacité écologique. La restauration collective et les supermarchés ne sont pas épargnés. Un plat préparé mais non consommé est fréquemment jeté en fin de service, faute de solutions de revalorisation logistique ou réglementaire. Pourtant, des initiatives émergent pour changer la donne, comme celles recensées par le ministère de la Transition écologique, qui encourage les dons aux associations.

L’impact des dates de péremption : une confusion qui coûte cher

Un des principaux moteurs du gaspillage à domicile reste la mauvaise compréhension des dates de péremption. Il existe deux types de dates : la DLC, ou date limite de consommation, concerne la sécurité sanitaire, tandis que la DDM, ou date de durabilité minimale, indique une qualité optimale sans risque pour la santé. Or, de nombreux consommateurs jettent systématiquement les produits dès que la date est dépassée, même s’ils sont encore parfaitement consommables. Cette confusion, largement répandue, est alimentée par un manque d’éducation alimentaire. Des campagnes de sensibilisation visent à rétablir une juste interprétation de ces mentions. Repenser l’étiquetage, informer les citoyens, c’est permettre à chacun de faire des choix éclairés et responsables.

Le comportement des consommateurs : l’abondance comme norme

La société de consommation a façonné nos habitudes alimentaires autour de l’abondance. Les promotions de type « un acheté, un offert », les lots familiaux ou les formats XXL induisent des achats supérieurs aux besoins réels. Résultat : les placards se remplissent, les frigos débordent, et une partie de cette surconsommation finit inévitablement à la poubelle. Ce comportement est renforcé par un manque de planification des repas et une gestion approximative des courses. Ne pas vérifier ses stocks avant de faire ses achats, cuisiner en trop grande quantité ou ne pas valoriser les restes sont autant de gestes qui, cumulés, aggravent le gaspillage. Des outils comme le guide anti-gaspi de l’ADEME aident à adopter des réflexes simples, mais efficaces.

Une méconnaissance de la valeur de l’aliment : la rupture du lien entre production et consommation

Enfin, l’une des racines les plus profondes du gaspillage réside dans la perte de sens attachée à l’alimentation. En milieu urbain notamment, beaucoup de consommateurs n’ont plus conscience de ce que représente la production d’un aliment : le travail des agriculteurs, l’usage des ressources naturelles comme l’eau, la terre, l’énergie. Quand un aliment devient un simple produit de consommation parmi d’autres, son rejet devient banal, presque indolore. Reconnecter les citoyens à la réalité de la chaîne alimentaire permet de redonner de la valeur à ce que nous mangeons. Cela passe par des circuits courts, des marchés locaux, ou encore des projets pédagogiques dans les écoles. Le site Alimentation.gouv.fr propose des ressources pour comprendre ces enjeux et repenser nos comportements à la lumière de la transition écologique.

Vers une prise de conscience collective

Le gaspillage alimentaire n’est pas une fatalité. C’est le symptôme d’un système déconnecté, mais aussi le reflet de gestes quotidiens sur lesquels nous avons tous prise. En comprenant les causes – économiques, culturelles, comportementales et structurelles – nous pouvons progressivement inverser la tendance. Le combat contre le gaspillage ne se limite pas à quelques gestes en cuisine. Il demande une révision globale de notre rapport à la nourriture.

Des solutions existent déjà, portées par des associations, des collectivités, des startups, et des citoyens engagés. Le site jemportemesrestes.fr, à travers son action de sensibilisation au gaspillage alimentaire, s’inscrit dans cette dynamique. Rendre visible l’invisible, redonner du sens à l’alimentation, c’est aussi créer un futur plus durable et plus solidaire.

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Équipe de restaurateurs en salle, illustrant les pratiques de service et la politique du restaurant concernant le doggy ba
Un restaurateur peut-il refuser de donner une doggy bag ?

Réduire les déchets, encourager une consommation plus raisonnée et renforcer notre responsabilité écologique, voici les enjeux majeurs de notre société.

Chaque geste compte, notamment au restaurant, où une quantité non négligeable de nourriture finit à la poubelle. Depuis quelques années, la doggy bag française gagne du terrain et s’inscrit dans une démarche de préservation de nos ressources alimentaires.

Mais alors, en tant que client, avez-vous le droit d’exiger une doggy bag ? Et le restaurateur peut-il s’y opposer ?

Équipe de restaurateurs en salle, illustrant les pratiques de service et la politique du restaurant concernant le doggy ba

Depuis le 1er juillet 2021, la loi AGEC impose aux restaurants de proposer à leurs clients une solution pour emporter les restes de repas ou de boissons non consommés, article L541-15-7 du Code de l’environnement. Le restaurateur ne peut pas refuser une demande de doggy bag, sauf en cas d’abus manifeste. L’objectif est clair : faire de la lutte contre le gaspillage une responsabilité partagée entre restaurateurs et clients (article 62 de la loi EGAlim, renforcé par la loi AGEC). 

Pourquoi certains restaurateurs refusent de donner une doggy bag ?

Ils peuvent avoir des freins logistiques et culturels. Malgré la loi, certains restaurateurs peuvent encore exprimer des réticences :

  • manque de matériel d’emballage adapté 
  • coût d’achat des contenants 
  • peur d’une détérioration de l’image de l’établissement 
  • craintes sanitaires

Ces freins sont en recul, car la demande des consommateurs est de plus en plus forte et les restaurateurs comprennent l’intérêt environnemental et commercial de cette pratique.

Responsabilité sanitaire du restaurateur qui donne une doggy bag

Une fois la doggy bag remise au client, la responsabilité sanitaire du restaurateur prend fin. Cela signifie que le restaurateur n’est plus légalement responsable des conditions de conservation ou de consommation des aliments emportés. C’est alors au client de veiller à respecter les bonnes pratiques d’hygiène : transporter les restes dans un délai raisonnable, les conserver au réfrigérateur, et les consommer rapidement (idéalement sous 24 à 48 heures). Cette règle est conforme aux principes établis par le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, qui précise que la responsabilité est transférée dès que l’aliment sort de l’établissement. Ainsi, proposer une doggy bag ne fait pas courir de risque juridique au restaurateur, tant que les aliments remis étaient propres à la consommation au moment de leur remise.

Les bénéfices d’une politique anti-gaspi en restauration

J’emporte mes restes est bien plus qu’une simple boîte à emporter : c’est un symbole d’engagement pour une société plus responsable. En tant que leader dans la sensibilisation du grand public à la réduction du gaspillage alimentaire, cette doggy bag moderne et fièrement assumée s’inscrit dans une démarche à la fois écocitoyenne, durable et solidaire. Elle incarne plusieurs dimensions concrètes :

  • Économique : en emportant ses restes, le client valorise pleinement ce qu’il a payé. On ne jette plus une partie de son repas ; on consomme mieux, en respectant la valeur de chaque ingrédient cuisiné. Pour les restaurateurs aussi, c’est un levier de sensibilisation et de fidélisation de la clientèle.
  • Pratique : elle permet de savourer son repas plus tard, à son rythme, ou encore d’en faire bénéficier un proche ou une personne dans le besoin. C’est un geste simple, accessible, qui prolonge l’utilité de l’aliment au-delà du restaurant.
  • Écologique : en limitant le gaspillage, on réduit la pression sur les ressources naturelles : eau, énergie, sols agricoles, transport… Chaque plat sauvé de la poubelle évite des émissions de gaz à effet de serre et participe à une démarche environnementale concrète.

Adopter une telle habitude, c’est aussi faire évoluer les mentalités, casser les tabous autour de la “boîte à restes”, et encourager une nouvelle culture de consommation plus réfléchie et respectueuse. À l’échelle collective, cette politique anti-gaspi contribue à un modèle alimentaire plus durable, plus équitable et résolument tourné vers l’avenir.

Pour les restaurateurs : une image positive et durable

Fournir une doggy bag écoresponsable comme J’emporte mes restes permet de :

  • réduire les déchets produits en salle 
  • s’aligner avec les attentes d’un public de plus en plus engagé écologiquement 
  • valoriser une image de marque moderne et responsable

Il ne s’agit pas d’un simple service, mais d’un véritable levier de fidélisation à long terme.

Que faire si un restaurateur refuse de fournir une doggy bag ?

En cas de désaccord avec un restaurateur, vous pouvez d’abord vous tourner vers un médiateur de la consommation, dont le rôle est de favoriser le règlement amiable des litiges entre professionnels et clients, sans recourir à la justice. Seul le consommateur peut initier cette démarche, mais celle-ci suppose d’avoir au préalable tenté une résolution écrite du conflit directement avec le restaurateur. Gardez à l’esprit que la procédure peut s’avérer disproportionnée pour un différend mineur, comme le refus d’une doggy bag. Si la médiation n’aboutit pas, vous conservez néanmoins la possibilité de saisir un juge pour faire valoir vos droits. Vous pouvez également :

  • rappeler la loi AGEC en vigueur 
  • mentionner que la pratique est désormais attendue par une majorité de clients 
  • en dernier recours, signaler l’établissement sur le site officiel de l’état Signal Conso

La pédagogie avant tout ! La plupart des refus ne relèvent pas d’un refus de principe, mais plutôt d’un manque d’information ou de préparation logistique. Dans bien des cas, une discussion cordiale suffit à faire évoluer les choses.

En conclusion, pour une gastronomie durable, normalisons la doggy bag

La doggy bag française a encore du chemin à parcourir pour devenir une norme, mais elle est en bonne voie. Grâce à la loi AGEC, au soutien des collectivités et à une prise de conscience croissante, emporter ses restes devient un acte militant du quotidien. En tant que consommateurs, soyons acteurs du changement : réclamons nos restes avec fierté, et encourageons les établissements qui s’engagent dans cette démarche écoresponsable. Et vous, la prochaine fois au restaurant, serez-vous prêt à dire : J’emporte mes restes !

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Épluchures de légumes jetées à la poubelle — gaspillage alimentaire et solutions zéro déchet
Que faire avec les épluchures de légumes ? Astuces antigaspi !

Selon l’ADEM, un tiers des aliments produits dans le monde sont perdus ou gaspillés. Une partie de ce gaspillage pourrait pourtant être évitée simplement en changeant nos habitudes.

Chaque jour, des tonnes d’épluchures de légumes sont jetées à la poubelle. Pourtant, ces « déchets » sont loin d’être inutiles. Dans une société de plus en plus sensibilisée au gaspillage alimentaire et à la préservation de nos ressources, apprendre à valoriser ce que l’on considérait hier comme des rebuts devient un geste à la fois simple, économique et écologique.

Épluchures de légumes jetées à la poubelle — gaspillage alimentaire et solutions zéro déchet

Lorsque l’on parle de gaspillage alimentaire, on pense souvent aux produits oubliés dans le frigo ou aux restes non consommés. Mais les épluchures, fanes, tiges et peaux de légumes représentent également une part importante des aliments gaspillés. Réutiliser les épluchures, c’est donc une manière concrète de faire un geste pour la planète tout en réalisant des économies. C’est aussi l’occasion de redécouvrir des saveurs oubliées, d’enrichir son alimentation et de soutenir une démarche zéro déchet à la maison.

Épluchures de légumes : comment les cuisiner intelligemment ?

Avant de finir au compost ou, pire, à la poubelle, les épluchures de légumes méritent une seconde chance. Riches en fibres, en vitamines et en goût, elles peuvent être intégrées à de nombreuses recettes du quotidien. Avec un peu de créativité, elles deviennent des alliées précieuses pour une cuisine économique, savoureuse et respectueuse de l’environnement.

Bouillons maison : une base savoureuse et anti-gaspi

Les pelures d’oignon, les fanes de carottes, les tiges de persil, les peaux de courgettes ou encore les trognons de choux peuvent être utilisés pour réaliser un bouillon de légumes maison. Il suffit de bien les laver, de les faire revenir dans un peu d’huile, puis de les recouvrir d’eau et de laisser mijoter une trentaine de minutes. On filtre ensuite le tout : vous obtenez un bouillon savoureux, parfait comme base pour une soupe ou un risotto.

Chips et snacks écoresponsables

Les épluchures de pommes de terre ou de betteraves peuvent être transformées en chips croustillantes. Un peu d’huile, un assaisonnement au choix (paprika, herbes, curry…) et un passage au four suffisent. C’est une manière ludique de sensibiliser les plus jeunes au respect des aliments et à l’importance de ne pas gaspiller.

Purées et pestos originaux

Les épluchures peuvent aussi se transformer en ingrédients surprenants pour vos purées ou sauces. Par exemple, les fanes de radis ou de carottes, souvent jetées, peuvent être mixées avec de l’ail, des noix, de l’huile d’olive et du parmesan pour obtenir un pesto maison délicieux et vitaminé. Les épluchures de courgettes, une fois bien lavées et légèrement cuites, peuvent être intégrées à une purée pour ajouter de la texture et de la couleur à vos plats.

Farines et poudres nutritionnelles

Certaines épluchures, comme celles de pommes de terre, de carottes ou de betteraves, peuvent être déshydratées puis réduites en poudre. Ces farines alternatives sont parfaites pour enrichir les pâtes à pain, gâteaux ou pancakes tout en apportant une touche de saveur et un surplus de nutriments. Une excellente manière d’intégrer les restes au quotidien sans effort !

Infusions et tisanes détox

Saviez-vous que les épluchures de légumes peuvent aussi servir à préparer des infusions ? Les peaux de concombre, de carotte ou de betterave, infusées dans de l’eau chaude, apportent des saveurs légères et des bienfaits détoxifiants. Parfait pour accompagner un moment de détente tout en faisant un geste pour réduire les déchets.

Astuce pratique : bien laver avant toute utilisation

Un point important à ne pas négliger : avant de cuisiner ou de transformer vos épluchures, assurez-vous de bien les laver pour éliminer toute trace de terre, pesticide ou résidu. Privilégiez les légumes issus de l’agriculture biologique ou locale, pour limiter la présence de produits chimiques sur les pelures.

Vers une cuisine antigaspi alimentaire, plus durable et responsable

Donner une seconde vie aux épluchures s’inscrit dans une démarche plus globale de consommation responsable. En choisissant des légumes bio ou locaux, on limite les résidus de pesticides et on favorise une agriculture durable. En apprenant à utiliser l’intégralité des produits que l’on achète, on valorise chaque euro dépensé et on réduit notre empreinte carbone. N’oubliez pas que s’il vous reste de la nourriture, vous pouvez aussi la partager avec ceux qui ont en besoin (famille, amis, étudiants, voisins…). Pour cela, c’est simple, en tant que particulier, vous pouvez aussi acheter un pack de 10 doggy bags sur jemportemesrestes.fr parce-qu’à la Maison aussi, le gaspi c’est fini !

Sensibiliser pour changer les comportements

Apprendre à cuisiner les épluchures, c’est aussi transmettre des valeurs. Cela commence par l’éducation des enfants, à travers des ateliers cuisine ou des activités scolaires autour du compost ou du tri. Mais cela passe également par une meilleure information des adultes : nombre d’entre nous jettent encore des fanes de radis ou des tiges de brocolis simplement par habitude ou par méconnaissance. De nombreuses ressources existent pour s’informer et s’inspirer avec des recettes et des conseils pour cuisiner autrement. Des chefs s’engagent aussi sur le sujet, comme l’association Bon Pour le Climat, qui promeut une cuisine bas carbone et anti-gaspillage.

Compost : nourrir la terre plutôt que les ordures

Quand les épluchures ne sont pas comestibles ou qu’on ne souhaite pas les cuisiner, le compost reste une excellente option. En ville comme à la campagne, de plus en plus de collectivités proposent des solutions pour composter facilement. À Paris, par exemple, la mairie met à disposition des composteurs partagés et accompagne les habitants dans leur mise en place (paris.fr).

Une question de culture… et de bon sens

Il est temps de changer de regard sur les épluchures. Ce qui était considéré comme un déchet peut devenir un ingrédient à part entière. Cela ne demande ni équipement particulier, ni connaissances avancées : un peu de curiosité, une dose de bon sens, et beaucoup d’envie de faire mieux avec moins. Dans un monde confronté à des défis écologiques sans précédent, adopter des gestes simples comme réutiliser les épluchures de légumes peut sembler modeste. Mais mis bout à bout, ces petits gestes ont un impact réel. Et si la cuisine devenait l’un des premiers terrains de la transition écologique ?

En conclusion

Réutiliser les épluchures de légumes, c’est facile, économique et bon pour la planète. Que vous choisissiez de les transformer en bouillons, en snacks maison ou de les composter, chaque geste compte pour réduire le gaspillage alimentaire. En changeant vos habitudes, vous contribuez à une cuisine plus responsable, durable et créative. 👉 Alors, pourquoi jeter ce qui peut encore nourrir ? Testez dès aujourd’hui une recette antigaspi et partagez vos astuces zéro déchet autour de vous et sur nos réseaux sociaux !

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La doggybag française j'emporte mes restes est utilisée au travail, en famille, au restaurant pour réduire le gaspillage alimentaire.
Des avantages écologiques à demander une doggy bag

Le gaspillage alimentaire, un fléau mondial aux conséquences écologiques, économiques et sociales majeures.

Pourtant, un simple réflexe pourrait résoudre une partie du problème. En effet, la doggy bag permet aux clients d’un restaurant d’emporter les restes de leur repas. Longtemps associée à une culture anglo-saxonne, elle devient progressivement populaire en France, notamment sous l’effet des politiques publiques de lutte contre le gaspillage et des initiatives individuelles qui vont en ce sens.

La doggybag française j'emporte mes restes est utilisée au travail, en famille, au restaurant pour réduire le gaspillage alimentaire.

Un impact mesuré : -42 % de gaspillage alimentaire

Une étude phare menée en Écosse par l’organisation Zero Waste Scotland (projet “Good to Go”) a montré qu’une proposition systématique de doggy bags dans les restaurants permettait de réduire de 42 % le gaspillage alimentaire provenant des assiettes des clients. Mieux encore, 92 % des clients ayant emporté leurs restes les ont consommés ensuite. Cette expérience a également permis une meilleure gestion des portions et des accompagnements.

  • Des chiffres français qui appuient la tendance : en France, la restauration commerciale est responsable de 40 % du gaspillage alimentaire en phase de consommation finale, alors qu’elle ne représente que 15 % des repas consommés (source : ADEME). Une étude régionale de la DRAAF Rhône-Alpes indique que 75 % des clients seraient prêts à utiliser une doggy bag. 
  • Un cadre législatif favorable en France : depuis le 1er juillet 2021, la loi Anti-Gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) impose aux restaurateurs de proposer un contenant réutilisable ou recyclable pour les restes alimentaires. Cette obligation légale vise à banaliser l’usage de la doggy bag et à responsabiliser les professionnels comme les clients.
  • Des initiatives concrètes : focus sur “J’emporte mes restes”. Pour accompagner ce changement de pratiques, l’initiative française J’emporte mes restes soutient activement les restaurateurs et les consommateurs. Ce dispositif vise à rendre la doggy bag plus visible et plus accessible à travers la mise à disposition de kits, de contenants écoresponsables et d’une plateforme de sensibilisation. Elle permet également aux restaurants engagés d’être répertoriés et valorisés auprès des clients soucieux de limiter le gaspillage.

“Chez J’emporte mes restes, nous croyons qu’un simple geste peut transformer notre rapport à l’alimentation. Proposer un contenant pour les restes n’est pas un service en plus, c’est un engagement pour demain.”

En tant que créateurs de cette initiative écocitoyenne, nous sommes fiers d’accompagner des centaines d’établissements dans cette transition vers une restauration plus durable et responsable.

Des avantages écologiques et économiques

En plus de réduire les déchets, la doggy bag permet de valoriser la nourriture produite, d’éviter le gaspillage de ressources (eau, énergie, intrants agricoles) et de sensibiliser les consommateurs à la surconsommation. Côté restaurateurs, il peut aussi améliorer l’image de marque et répondre à une demande croissante des clients.

Comment généraliser la doggy bag en France ?

Pour que cette pratique se développe, plusieurs leviers peuvent être actionnés :

  • Former et sensibiliser le personnel de salle à proposer naturellement une doggy bag.

  • Informer les clients par affichage comme chevalet de table, vitrophanie proposés par J’emporte mes restes.

  • Prévoir des contenants esthétiques, adaptés et écoresponsables qui n’ont pas peur de se montrer.

  • Démocratiser ce geste réflexe en montrant l’exemple via une communication positive.

  • S’appuyer sur des dispositifs comme “J’emporte mes restes” pour bénéficier d’outils concrets et de visibilité.

En conclusion, la doggy bag n’est plus une option marginale mais une réponse concrète au gaspillage alimentaire en restauration. L’étude écossaise, les initiatives françaises et l’évolution du cadre légal montrent qu’une proposition systématique peut avoir un impact significatif. En adoptant ce geste simple, chacun – restaurateur ou client – devient acteur d’une alimentation plus durable.

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Une restauratrice vide un bol de salade fraîche remplie de légumes colorés dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.
Gaspillage alimentaire en France : comprendre les causes pour agir

Un enjeu environnemental, économique et éthique majeur en raison des habitudes de consommation encore peu responsables.

Chaque année, la France gaspille près de 10 millions de tonnes de nourriture consommable. Ce phénomène a des conséquences environnementales alarmantes, alourdit notre empreinte carbone et interroge notre modèle de consommation. Mais avant de chercher des solutions, il est essentiel d’identifier les causes du gaspillage alimentaire en France.

Une restauratrice vide un bol de salade fraîche remplie de légumes colorés dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.

L’une des principales causes du gaspillage alimentaire réside dans notre comportement de consommation. Les Français jettent souvent des aliments encore comestibles, influencés par une mauvaise interprétation des dates de péremption. La confusion entre “à consommer jusqu’au” (date limite de consommation) et “à consommer de préférence avant” (date de durabilité minimale) pousse de nombreux foyers à jeter des produits toujours sains. La recherche du “toujours frais” incite aussi à renouveler les stocks domestiques trop fréquemment, créant un surplus et une obsolescence rapide de certains produits alimentaires. Ce phénomène est amplifié par la surabondance dans les supermarchés, la promotion d’achats en gros ou encore les offres “3 pour le prix de 2”, qui poussent à la surconsommation.

Le rôle de la grande distribution et de la restauration dans le gaspillage alimentaire

Les supermarchés ont longtemps eu leur part de responsabilité. Si la loi Garot de 2016 interdit désormais aux grandes surfaces de jeter leurs invendus comestibles, le tri drastique des produits jugés “non présentables” continue. Fruits légèrement tachés, légumes hors calibres ou produits proches de la date limite sont écartés par souci d’esthétique ou de rentabilité.

Dans le secteur de la restauration, les portions trop généreuses et le manque de solutions de doggy bag écoresponsable contribuent au gaspillage. Malgré une meilleure sensibilisation du grand public, le réflexe de demander à emporter ses restes reste encore peu ancré en France. Pourtant, des initiatives comme la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi AGEC) encouragent désormais les restaurants à proposer systématiquement des contenants à emporter.

Des conséquences lourdes sur l’environnement et les ressources

Le gaspillage alimentaire ne se limite pas à une perte de nourriture. Il représente un gaspillage massif des ressources naturelles : eau, terres agricoles, énergie pour la production, la transformation et le transport. En France, près de 20 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur alimentaire sont liées à la nourriture gaspillée. À l’échelle mondiale, si le gaspillage alimentaire était un pays, il serait le troisième émetteur de CO₂ après la Chine et les États-Unis. Réduire ce gaspillage, c’est donc préserver nos ressources tout en luttant contre le dérèglement climatique.

Une prise de conscience collective des causes du gaspillage alimentaire en France

  • Les ménages : un levier d’action essentiel ? Les foyers sont responsables d’environ 33 % du gaspillage alimentaire en France. Il existe pourtant des gestes simples pour y remédier : planifier ses repas, cuisiner les restes, congeler les excédents, ou apprendre à lire les étiquettes correctement. Des plateformes telles que Too Good To Go ou Phenix permettent également de sauver des produits invendus à prix réduit, tout en sensibilisant les consommateurs.
  • L’éducation et les campagnes publiques : des campagnes de sensibilisation portées par l’ADEME (Agence de la transition écologique) visent à informer le public et à diffuser les bonnes pratiques. Les écoles intègrent de plus en plus la question du gaspillage alimentaire dans leurs programmes, afin d’ancrer de nouvelles habitudes dès le plus jeune âge.

Le retour du doggy bag à la française : l’initiative engagée de jemportemesrestes.fr pour réduire le gaspillage alimentaire en France

Longtemps marginalisé dans la culture française, le doggy bag fait aujourd’hui un retour remarqué grâce à des initiatives innovantes comme jemportemesrestes.fr. Ce projet engagé œuvre activement pour changer les mentalités autour du gaspillage alimentaire en valorisant le réflexe d’emporter ses restes au restaurant. À travers des contenants écoresponsables, élégants et conformes aux normes sanitaires, jemportemesrestes.fr facilite l’adoption d’un geste simple mais encore trop peu répandu. En sensibilisant aussi bien les restaurateurs que les consommateurs, la plateforme contribue concrètement à ancrer une nouvelle habitude, à la fois utile pour la planète et respectueuse du repas servi. Une belle manière de réconcilier plaisir de la table et préservation des ressources.

Une responsabilité partagée et une dynamique encourageante

La lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite l’implication de tous : citoyens, entreprises, collectivités locales et pouvoirs publics. La mise en place de lois ambitieuses, couplée à une évolution des mentalités, porte déjà ses fruits. Mais le chemin reste long.

Pour aller plus loin, vous pouvez consulter :

En réduisant le gaspillage, nous participons à un changement profond de notre modèle de consommation. Un geste simple, mais crucial, pour préserver nos ressources, notre planète et notre humanité.

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Cinq bonnes raisons pour proposer une doggy bag quand on est un professionnel de la restauration.
5 raisons pour que les restaurants proposent une doggy bag

Proposer une doggy bag en restaurant n’est pas seulement un geste écologique, c’est aussi un levier d’image, de satisfaction client et d’économie durable.

Souvent associée à la culture anglo-saxonne, la doggy bag française s’impose aujourd’hui comme un geste de bon sens, à la fois écologique, économique et respectueux du client. Dans un contexte où la préservation des ressources devient un enjeu majeur, proposer une doggy bag n’est plus une option marginale, mais une véritable preuve d’engagement. Voici cinq bonnes raisons pour lesquelles tout restaurant devrait proposer une doggy bag écoresponsable à sa clientèle.

Cinq bonnes raisons pour proposer une doggy bag quand on est un professionnel de la restauration.

En France, près de 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année, dont une part significative provient de la restauration. Face à cette réalité préoccupante, la doggy bag apparaît comme une solution simple, efficace et respectueuse de l’environnement. Longtemps perçue comme une pratique anglo-saxonne, cette habitude gagne enfin du terrain dans l’Hexagone. Et pour cause : proposer une doggy bag en restaurant n’est pas seulement un geste écologique, c’est aussi un levier d’image, de satisfaction client et d’économie durable. Adoptée avec intelligence, cette pratique permet de réduire considérablement les déchets, d’améliorer l’expérience client et de renforcer l’image d’un établissement soucieux de son impact. 

Réduire le gaspillage alimentaire en salle comme en cuisine

La première raison, évidente, est la réduction du gaspillage alimentaire. Les portions servies dans les restaurants sont parfois trop généreuses ou simplement mal adaptées à l’appétit de chacun. Lorsque les clients ne finissent pas leur plat, les restes partent directement à la poubelle. Offrir la possibilité d’emporter ces restes grâce à une doggy bag écoresponsable permet d’éviter cette perte inutile. D’un point de vue éthique comme environnemental, il devient urgent de limiter ce type de gaspillage. Les ressources naturelles nécessaires à la production de la nourriture – eau, énergie, terres agricoles – sont précieuses. Ne pas les gaspiller est un acte concret de préservation de nos ressources. Chaque repas sauvé, même partiellement, compte.

Valoriser une image de restaurant engagé et moderne

Aujourd’hui, les consommateurs sont de plus en plus sensibles à l’impact écologique de leurs choix. Proposer une doggy bag permet au restaurateur de se positionner comme un acteur engagé dans la lutte contre le gaspillage. C’est aussi un signe d’adaptation aux nouvelles attentes sociétales : celles d’une restauration plus responsable, durable et transparente. Les établissements qui prennent cette initiative renforcent leur image de marque écoresponsable. Cette démarche est perçue comme positive, innovante, et soucieuse du bien commun. Elle s’inscrit dans une logique de responsabilité sociale des entreprises, souvent valorisée sur les réseaux sociaux ou les plateformes d’avis.

Améliorer l’expérience et la fidélité client

Proposer une doggy bag, c’est aussi montrer de l’attention pour le client. Beaucoup de consommateurs, par gêne ou par manque d’information, n’osent pas demander à emporter leurs restes. En normalisant cette pratique, le restaurateur simplifie la démarche et offre une expérience plus agréable. Un client satisfait, qui peut prolonger son repas chez lui sans culpabiliser, sera plus enclin à revenir. Il appréciera le geste, la qualité du service, et la liberté de consommer selon ses envies. La doggy bag française devient alors un outil subtil mais efficace de fidélisation. De plus, dans certains contextes (repas d’affaires, rendez-vous galants, déjeuners pressés), le client peut ne pas vouloir finir son assiette sur place mais souhaite profiter pleinement de ce qu’il a payé. Lui offrir une solution pratique et élégante d’emport, c’est répondre à ses besoins avec intelligence.

Une obligation qui s’inscrit dans la loi française

Depuis le 1er juillet 2021, les restaurants servant plus de 180 couverts par jour ont l’obligation de proposer une solution de doggy bag à leurs clients. Cette mesure, prévue par la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), vise à généraliser la pratique et à responsabiliser le secteur de la restauration. Au-delà de la contrainte légale, c’est une réelle opportunité pour les restaurateurs d’adopter une démarche proactive. Ceux qui anticipent et intègrent ces changements avec cohérence pourront en tirer des bénéfices économiques, mais aussi en termes de notoriété. Il ne s’agit pas seulement de se conformer à la loi, mais de la dépasser, en choisissant par exemple un emballage recyclable, compostable ou consigné, conçu localement. Une doggy bag made in France, conçue avec des matériaux durables, renforce encore la dimension écologique et responsable de l’offre.

Encourager une culture de consommation plus durable

Instaurer l’habitude de la doggy bag dans les mœurs françaises, c’est aussi œuvrer à une éducation collective. Cela implique de changer les mentalités : non, emporter ses restes n’est pas une preuve de radinerie, mais bien un choix éclairé, responsable et moderne. Les restaurateurs ont un rôle pédagogique à jouer. En communiquant sur leur démarche, en affichant clairement la possibilité d’emporter son repas, ils contribuent à faire évoluer les comportements. Et cette dynamique profite à l’ensemble de la société : moins de déchets, plus de conscience écologique, et une meilleure valorisation des aliments. De nombreuses initiatives locales voient le jour pour accompagner cette transition, comme des labels anti-gaspillage, des campagnes de sensibilisation ou des partenariats entre restaurateurs et entreprises d’emballages durables.

Conclusion : un petit geste aux grands effets

La doggy bag en France comme l’est J’emporte mes restes est une réponse concrète à des enjeux environnementaux, économiques et sociaux majeurs. Pour les restaurateurs, adopter cette pratique, c’est faire preuve de bon sens, de responsabilité et d’ouverture. En intégrant cette démarche à leur quotidien, ils participent activement à la préservation de nos ressources naturelles, à la réduction du gaspillage alimentaire, et à la construction d’un modèle de consommation plus respectueux. Un geste simple, mais porteur de grands changements.

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Comment adopter les bons gestes au restaurant pour limiter le gaspillage alimentaire ?
Adoptez les bons gestes anti-gaspi au restaurant

Chaque repas pris à l’extérieur peut devenir une occasion d’agir contre le gaspillage alimentaire. Trop souvent, la responsabilité est perçue comme celle des restaurateurs seuls.

En France, les pertes en restauration représentent une part significative du gaspillage global, et pourtant, une grande partie pourrait être évitée. En réalité, les clients ont aussi un véritable pouvoir d’action. En adoptant quelques réflexes simples, il est possible de limiter les restes, encourager les bonnes pratiques… et participer à une transition vers une consommation plus responsable. 

Comment adopter les bons gestes au restaurant pour limiter le gaspillage alimentaire ?

Mieux commander pour mieux consommer

Tout commence au moment de la commande. Par habitude ou par gourmandise, il peut vous arriver de choisir un plat trop copieux ou un menu complet sans vraiment anticiper votre appétit. Résultat : une partie finit parfois à la poubelle. En prenant le temps de poser une ou deux questions au serveur – sur la taille des portions ou les accompagnements – vous pouvez ajuster votre commande selon votre faim réelle. Ce petit réflexe permet d’éviter les excès, et donc le gaspillage alimentaire.

Certaines personnes n’osent pas refuser le pain, les frites ou la salade, même si elles n’en ont pas envie. Pourtant, en le précisant dès le début, vous limitez ce qui sera servi… et donc jeté. Une manière simple de faire votre part, sans rien sacrifier au plaisir de manger.

Et si vous partagiez ?

Partager un plat ou choisir une entrée pour deux peut être une excellente manière d’éviter les restes. Cela permet aussi de goûter à plusieurs saveurs sans risquer de trop manger. Cette habitude, courante dans de nombreux pays, gagne du terrain en France. Elle se prête particulièrement bien aux repas entre amis, collègues ou en couple. En réduisant les quantités commandées, vous limitez les pertes tout en favorisant la convivialité.

Ne laissez plus vos restes derrière vous

C’est probablement le geste le plus évident… et pourtant encore trop peu adopté. Demander à emporter les restes de votre assiette devrait devenir un réflexe. Et pourtant, combien de clients osent réellement le faire ? Par gêne, par peur de déranger ou simplement par habitude, beaucoup hésitent encore. Heureusement, les mentalités évoluent. De plus en plus de restaurants proposent spontanément un doggy bag – ou sac à emporter. Certains vont même plus loin en affichant clairement leur engagement contre le gaspillage alimentaire. C’est ici qu’intervient la plateforme jemportemesrestes.fr : elle référence les établissements qui encouragent activement cette démarche. Grâce à elle, vous pouvez facilement repérer les restaurants où emporter vos restes est valorisé et encouragé.

Changer les habitudes, un repas à la fois

Adopter ces gestes ne vous demande aucun sacrifice. Il ne s’agit pas de vous priver, mais simplement de consommer avec un peu plus de conscience. Chaque petit geste compte. Car, en fin de compte, le gaspillage alimentaire en restauration est souvent la somme de petits gaspillages individuels. En inversant la tendance, client après client, nous contribuons collectivement à faire évoluer la culture du repas. Et au-delà de vos propres gestes, votre comportement peut inspirer. Lorsque vous demandez un contenant pour emporter vos restes, vous montrez l’exemple. Vous adressez un signal positif au restaurateur, à votre entourage, aux autres clients. Vous contribuez à faire du réflexe “J’emporte mes restes” une norme plutôt qu’une exception.

Des restaurateurs de plus en plus engagés

La bonne nouvelle, c’est que les restaurateurs se mobilisent eux aussi. Certains proposent désormais des portions modulables, d’autres intègrent des produits issus de surplus (pain rassis, fanes, fruits mûrs) dans leurs recettes. Beaucoup s’équipent de contenants réutilisables ou consignés pour faciliter l’emport de restes. En tant que client, vous avez le pouvoir de soutenir ces initiatives. Comment ? En choisissant ces établissements, en parlant d’eux sur les réseaux sociaux, en laissant un avis positif. Un mot d’encouragement suffit parfois à renforcer l’engagement d’un restaurateur. Grâce à jemportemesrestes.fr, vous pouvez les trouver facilement et les encourager activement.

Ensemble, construisons une nouvelle manière de consommer

Le gaspillage alimentaire au restaurant n’est pas une fatalité. Avec un peu de bon sens, de bienveillance et quelques nouveaux réflexes, chacun peut contribuer à une transformation positive. Ce changement n’est ni contraignant, ni austère : il est au contraire synonyme de plaisir, d’impact et de cohérence avec les enjeux de notre époque. Alors, la prochaine fois que vous sortez manger, pensez-y. Commandez selon votre appétit. Et comme le rappelle J’emporte mes restes : “Si t’as plus faim, garde-en pour demain !” Un petit geste pour vous, un grand pas pour la planète.

Passez à l’action dès maintenant

Trouvez facilement des restaurants engagés près de chez vous sur jemportemesrestes.fr et rejoignez une communauté de gourmets responsables. Parlez-en autour de vous, partagez cet article, et contribuez à faire entrer le réflexe anti-gaspi dans les habitudes. Ensemble, changeons les codes de la restauration, assiette après assiette.

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Doggy bag française nouvelle génération jemporte-mes-restes.fr avec poignée de transport 100 % recyclable
Doggy Bag : ce que la loi impose aux restaurants en 2025

Depuis janvier 2021, la loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire) a introduit des mesures fortes pour lutter contre le gaspillage alimentaire en France.

L’une des mesures phares : le doggy bag devient obligatoire dans les restaurants. En 2025, cette obligation s’applique à tous les établissements de restauration.
Êtes-vous prêts ? Voici ce que vous devez savoir pour vous mettre en conformité et adopter une démarche écoresponsable.

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Un tournant écoresponsable pour la restauration

Depuis plusieurs années, la lutte contre le gaspillage alimentaire s’est imposée comme un enjeu central de la transition écologique. En France, ce fléau représente plus de 10 millions de tonnes de nourriture jetée chaque année, dont une part significative provient du secteur de la restauration. Pour y remédier, l’État a instauré une série de mesures dans le cadre de la loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire), notamment l’obligation pour les restaurants de proposer à leurs clients des contenants pour emporter les restes non consommés — autrement dit, le doggy bag devient obligatoire.

Le doggy bag obligatoire : que dit réellement la loi ?

Entrée en vigueur progressivement depuis 2021, la loi AGEC prévoit que tout restaurant proposant un service à table doit permettre à ses clients d’emporter ce qu’ils n’ont pas terminé, sur simple demande. Cette mesure devient incontournable en 2025, marquant une étape décisive dans la politique nationale de réduction des déchets alimentaires. Il ne s’agit plus d’une incitation mais bien d’un devoir légal auquel tous les établissements doivent se conformer. Cette obligation s’applique à l’ensemble des professionnels de la restauration traditionnelle, des brasseries aux bistrots gastronomiques. Elle vise à limiter les pertes alimentaires et à encourager une consommation plus responsable. Offrir un contenant adapté — recyclable, réutilisable ou compostable — devient ainsi une démarche obligatoire, mais aussi une preuve d’engagement environnemental.

Des bénéfices concrets pour les restaurateurs

Loin d’être une contrainte, le doggy bag s’impose comme une opportunité stratégique pour les professionnels de la restauration. D’abord parce qu’il permet de réduire le volume des déchets produits en cuisine et en salle, ce qui entraîne des économies indirectes sur les coûts de gestion des ordures. Ensuite, parce qu’il renforce la relation client : proposer un contenant pour emporter les restes est souvent perçu comme une marque d’attention, voire de générosité. Aujourd’hui, les consommateurs attendent des établissements qu’ils soient responsables. Les clients sont de plus en plus nombreux à refuser le gaspillage, à demander des alternatives durables, et à privilégier les lieux engagés dans des démarches écologiques. Proposer un doggy bag devient ainsi un véritable levier de différenciation, en phase avec les attentes sociétales.

Quels contenants pour se mettre en conformité ?

Concrètement, tous les restaurants doivent désormais prévoir une solution pour que leurs clients repartent avec leurs restes de repas. Mais attention : pas question d’utiliser un simple emballage jetable en plastique. L’objectif est aussi de limiter l’impact environnemental du contenant lui-même. L’idéal est donc d’opter pour des solutions recyclables ou biodégradables, adaptées aux portions et aux types d’aliments servis.

Sur jemportemesrestes.fr, nous proposons aux restaurateurs des contenants conçus spécialement pour cet usage : fonctionnels, esthétiques et écoresponsables. Ils permettent de respecter la loi tout en valorisant l’image de l’établissement auprès d’une clientèle de plus en plus sensible aux engagements écologiques. C’est aussi l’occasion de créer une expérience client mémorable, en ajoutant une touche responsable à la fin du repas.

Comment se mettre en conformité dès maintenant ?

Pour intégrer le doggy bag à votre fonctionnement quotidien, pas besoin de révolutionner votre organisation. Voici comment procéder, étape par étape :

  1. Formez et sensibilisez votre équipe à cette nouvelle obligation. Chaque serveur ou serveuse doit être en mesure d’informer les clients et de leur proposer un contenant adapté avec le sourire.

  2. Affichez clairement votre démarche dans le menu, sur vos supports de communication ou directement sur les tables. Un simple chevalet de table du type “T’as plus faim, garde-en pour demain, demande ta boîte “ suffit souvent à lever la gêne du client.

  3. Choisissez un fournisseur fiable, capable de vous livrer des contenants en phase avec la loi et avec votre identité de marque. L’objectif est de trouver un équilibre entre praticité, durabilité et esthétique.

  4. Communiquez sur votre engagement ! Sur vos réseaux sociaux, votre site, ou dans la presse locale, montrez que vous prenez ce sujet à cœur. Cela renforce votre notoriété et attire une clientèle fidèle et engagée.

Un exemple concret : un restaurant qui a sauté le pas

Lucie, gérante d’un restaurant à Lyon, témoigne : “Au départ, on pensait que ce serait compliqué à gérer, mais les clients ont tout de suite adhéré. Résultat : moins de gaspillage, des retours très positifs, et même quelques nouveaux habitués qui nous ont choisis pour notre démarche écologique.”

Ce type de retour est de plus en plus fréquent : adopter le doggy bag, c’est aussi faire le pari d’un modèle plus durable et plus humain, qui place la qualité et la conscience environnementale au cœur de l’expérience culinaire.

Conclusion : une contrainte ? Non, une vraie opportunité !

À partir de 2025, les restaurants n’auront plus le choix : le doggy bag deviendra une obligation légale. Mais plutôt que de le voir comme une charge, il est temps de l’envisager comme une opportunité de se démarquer, de faire des économies, et de s’inscrire dans un mouvement sociétal fort. En adoptant dès maintenant des solutions comme celles proposées sur jemportemesrestes.fr, vous vous assurez d’être conforme à la loi, tout en participant activement à la lutte contre le gaspillage. Et surtout, vous répondez à une attente croissante de vos clients : celle d’un restaurant responsable, engagé et tourné vers l’avenir.

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Un geste écocitoyen contre la précarité alimentaire

En France, la précarité alimentaire est une réalité qui touche des millions de personnes. Face à cette situation, chaque geste compte.

Familles modestes, étudiants, personnes âgées isolées… nombreux sont ceux qui peinent à se nourrir correctement au quotidien. Offrir des restes de qualité, en toute sécurité, contribue directement à alléger cette charge.

J’emporte Mes Restes encourage activement cette dimension de solidarité alimentaire. Nous ne sommes pas qu’un simple fournisseur de doggy bags écoresponsables ; nous sommes des facilitateurs d’un mouvement citoyen qui vise à redistribuer les richesses alimentaires et à renforcer le tissu social.

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J’emporte mes restes, même chez soi !

Le gaspillage alimentaire est un fléau qui pèse lourdement sur notre planète, mais saviez-vous qu’il a également un impact social profond ? Chaque année, des tonnes de nourriture encore consommables finissent à la poubelle, alors même que la précarité alimentaire touche une part significative de la population. Chez J’emporte Mes Restes, nous croyons que le geste simple de partager les restes de plats cuisinés peut devenir un puissant acte de solidarité.

J’emporte Mes Restes : un engagement pour la responsabilité sociale

Notre démarche est ancrée dans une profonde responsabilité sociale

  • Sensibilisation accrue : nous aidons à sensibiliser le tout public à l’importance de ne pas jeter la nourriture
  • Facilitation du don : nos doggy bags sont pensées pour être utilisée même chez soi afin de rendre le partage plus simple et plus digne tout en véhiculant un message fort
  • Création de liens : chaque acte de partage renforce le lien social et l’entraide au sein de la communauté qui peut rejoindre le mouvement du mieux-consommer sans gaspiller

Nous oeuvrons ainsi pour une société plus juste et solidaire. Chacun peut alors devenir un acteur clé de cette aide alimentaire informelle mais précieuse.

Au-delà du geste individuel : vers un impact collectif

Si une seule “doggy bag” donnée peut faire la différence pour une personne, imaginez l’impact collectif en faisant de ce geste une habitude généralisée ! En adoptant J’emporte Mes Restes, vous ne réduisez pas seulement votre empreinte carbone ; vous participez à un mouvement plus vaste qui vise à construire une société où moins de nourriture est gaspillée et où chacun a accès à une alimentation suffisante.

Un repas pour soi, un espoir pour l’autre : la “doggy bag” solidaire

Ces portions, parfaitement consommables, représentent bien plus que des restes ; elles peuvent devenir un repas complet et réconfortant pour une personne confrontée à la précarité. Chaque “doggy bag” devient ainsi un maillon d’une chaîne humaine, transformant le gaspillage en un acte concret d’aide alimentaire et de partage.

Même à la maison, rejoignez le mouvement J’emporte Mes Restes !

Vous avez trop cuisiné et il reste de la nourriture que vous ne consommerez pas. Au lieu de la jeter, faites-en profiter quelqu’un d’autres. Pour cela, c’est simple, vous pouvez :

  • donner la doggy bag que vous avez préparée à un ami, famille, collègue au bureau, voisin, sdf…
  • afficher ouvertement sur votre porte d’entrée ou fenêtre, notre blason autocollant repositionnable lorsque votre doggy bag est prête à être donnée. La personne qui en aura besoin, saura qu’elle peut simplement frapper à votre porte pour la demander et vous n’aurez qu’à le lui donner
  • postez sur nos réseaux un message indiquant que chez vous on peut trouver une doggy bag

Nous sommes convaincus que dans votre entourage proche ou pas, il y a une personne que votre doggy bag réconfortera. Alors, partagez vos expériences sur nos réseaux et, à votre tour, propagez l’esprit “A la maison aussi, le gaspi, c’est fini !

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