Plat cuisiné à partir de restes alimentaires pour réduire le gaspillage et cuisiner responsable
Cuisiner responsable : l’émotion au coeur du changement

Et si la lutte contre le gaspillage alimentaire commençait dans votre cuisine ? Une révolution silencieuse se prépare dans nos assiettes !

Longtemps relégué à un simple geste de bon sens, le fait de ne pas jeter la nourriture devient aujourd’hui un acte citoyen pour cuisiner responsable. Dans un monde où plus d’un tiers des aliments produits finissent à la poubelle, des millions de foyers réinventent leur rapport à la cuisine. Portées par une prise de conscience écologique et économique, les nouvelles tendances culinaires anti-gaspi redonnent vie à chaque épluchure, à chaque reste, et transforment la cuisine en un laboratoire de créativité durable.

Plat cuisiné à partir de restes alimentaires pour réduire le gaspillage et cuisiner responsable

Ce mouvement dépasse le simple cadre domestique : il est soutenu par des chefs engagés, des influenceurs responsables, et des plateformes collaboratives. Il s’appuie sur des astuces de cuisine zéro déchet, des recettes innovantes et des techniques de conservation intelligentes. Mais surtout, il repose sur une idée simple : tout peut se cuisiner, à condition de le regarder autrement.

La cuisine de demain : inventive, responsable et locale

Réduire le gaspillage alimentaire ne consiste plus seulement à “terminer son assiette”, mais à penser sa cuisine dans une logique circulaire. Cela commence dès les courses, avec des achats raisonnés, une attention portée aux dates de péremption, et le choix de produits bruts, locaux et de saison. Le retour aux ingrédients oubliés ou souvent jetés, comme les fanes de carottes ou les croûtes de fromage, devient un acte de valorisation. Dans cette dynamique, de nombreuses pratiques se démocratisent. Le batch cooking, par exemple, permet de planifier ses repas à l’avance et d’éviter les achats superflus. Autre tendance : la fermentation maison. Cette technique ancestrale permet de conserver plus longtemps les aliments, tout en enrichissant les plats de nouvelles saveurs. Confitures de pelures, pickles de trognons ou pestos de fanes, chaque reste devient une base potentielle pour une création originale.

Les applications mobiles ne sont pas en reste. Des outils comme J’emporte mes restes offrent des solutions pratiques et ludiques pour apprendre à cuisiner sans jeter. En quelques clics, on y trouve des recettes adaptées aux restes disponibles dans son frigo, mais aussi des conseils pour prolonger la durée de vie des produits.

L’émotion au cœur du changement pour cuisiner responsable

Il ne s’agit pas seulement d’un changement de pratiques, mais d’un retour à une cuisine plus humaine, plus ancrée dans le quotidien. Cuisiner les restes, c’est redonner de la valeur à ce qu’on aurait pu considérer comme inutile. C’est transmettre à ses enfants l’importance de chaque aliment, c’est aussi retrouver un lien plus respectueux à la nature et à ceux qui cultivent ce que nous mangeons. Cette approche émotionnelle redonne du sens à l’acte de cuisiner. Elle nous pousse à ralentir, à observer, à ressentir. Un reste de riz devient un arancini savoureux. Une banane trop mûre, un cake moelleux pour le goûter. Loin d’être une contrainte, le zéro déchet devient source d’inspiration.

Un levier puissant pour la planète… et pour le porte-monnaie

D’après un rapport de la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), environ 1,3 milliard de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année dans le monde, soit près d’un tiers de la production totale. À l’échelle domestique, cela représente un coût non négligeable : des produits achetés mais oubliés, jetés avant même d’avoir été utilisés. Adopter une cuisine anti-gaspillage, c’est non seulement faire un geste concret pour l’environnement, mais aussi réaliser des économies visibles. Cuisiner avec ce que l’on a, accommoder les restes, congeler les surplus, réinventer ses habitudes : autant de pratiques simples qui, cumulées, font une réelle différence.

Une responsabilité partagée

Si les particuliers ont un rôle majeur à jouer, les collectivités, les écoles et les entreprises s’engagent également. De plus en plus de cantines scolaires adoptent des menus anti-gaspi, et des chefs renommés comme Massimo Bottura ou Anne-Sophie Pic militent pour une gastronomie engagée. Les influenceurs food sur les réseaux sociaux participent eux aussi à cette révolution discrète. Ils partagent des tutoriels, des idées de recettes, et montrent que réduire le gaspillage alimentaire peut aussi rimer avec plaisir, esthétisme et gourmandise. Car oui, la cuisine anti-gaspi est une cuisine joyeuse, inventive et généreuse. Elle nous invite à changer notre regard, à redécouvrir le goût des choses simples, à valoriser ce que nous avons, plutôt que de désirer ce qui nous manque.

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Vitrophanie professionnelle pour promouvoir la doggy bag française j'emporte mes restes
Belle doggy bag écoresponsable fabriquée exclusivement en France
Pourquoi Nathalie Ratajczyk dit LA doggy bag : une histoire d’engagement, pas de grammaire

Quand on visite jemportemesrestes.fr pour la première fois, on découvre un engagement simple mais essentiel : réduire le gaspillage alimentaire.

Cette mission, portée par Nathalie Ratajczyk, fondatrice du mouvement J’emporte mes restes, encourage une pratique encore trop rare en France — demander à emporter ses restes au restaurant. Mais au-delà de la simple action, il y a un choix de mots qui interpelle : pourquoi LA doggy bag, et pas le doggy bag ? Ce choix n’est pas qu’une question de grammaire, c’est un symbole qui reflète une volonté d’adapter, d’humaniser et de rendre accessible cette bonne habitude.

Pack doggy bag, vitrophanie, chevalet pour lutter contre le gaspillage alimentaire

Dire la doggy bag, c’est rendre visible une solution simple et intelligente

Pourquoi féminiser ce terme anglais ? Dans l’imaginaire collectif, le doggy bag est encore vu comme une pratique étrangère, parfois un peu gênante. En parlant de la doggy bag, Nathalie choisit de franciser ce concept et de l’ancrer dans notre culture. La doggy bag devient alors plus qu’un simple sac : c’est un geste à adopter, une habitude à normaliser. C’est une invitation à faire un petit changement, qui, mis bout à bout, peut avoir un impact majeur. Et cet impact est loin d’être négligeable. En France, selon l’ADEME, chaque individu jette en moyenne 30 kg de nourriture par an, dont 7 kg encore emballés. Une partie importante de ces pertes se fait dans les restaurants, simplement parce que les clients ne finissent pas leurs assiettes — souvent par manque d’habitude ou de moyens pour emporter leurs restes.

Derrière le mot, une démarche positive et porteuse de sens

Le gaspillage alimentaire est un défi majeur, et c’est précisément ce que Nathalie Ratajczyk a souhaité questionner. En lançant son initiative, elle a compris qu’il faut souvent changer les mots pour faire évoluer les comportements. Au lieu de parler d’un « doggy bag » impersonnel, elle préfère utiliser l’expression J’emporte mes restes. C’est un message clair et positif, qui enlève toute gêne à la demande d’emporter les plats non finis. Ce nom devient une invitation à agir simplement, avec naturel et sans complexes.

Et si on arrêtait de se prendre trop au sérieux ? Bien sûr, on pourrait aborder ce sujet de façon très sérieuse et institutionnelle. Mais Nathalie préfère une approche plus légère, avec une touche d’humour. Demander la doggy bag, ce n’est pas ringard. C’est responsable. Ce n’est pas parce qu’on est dans un restaurant chic qu’on doit laisser partir son plat à la poubelle. Son objectif est que restaurateurs et clients adoptent ce réflexe sans honte, avec le sourire. Ce geste, petit mais significatif, doit devenir aussi banal qu’un « merci » à la fin d’un repas.

Le mot, le message, le mouvement ! Ce qui rend cette initiative forte, c’est qu’elle ne se limite pas à un slogan ou un site web. J’emporte mes restes fournit des kits pour les restaurateurs, des affiches, des stickers pour encourager cette pratique. La loi française AGEC, entrée en vigueur en 2021, oblige d’ailleurs les restaurants à proposer des contenants à emporter sur demande. Mais encore faut-il que les clients se sentent encouragés à en faire la demande ! Le mouvement aide donc à créer cette demande, visible et assumée, dans toute la France.

L’humain derrière l’initiative de la doggy bag

Nathalie n’est pas une activiste traditionnelle. Elle est communicante, entrepreneure, citoyenne impliquée, qui a voulu apporter une solution concrète à un problème souvent ignoré. Plutôt que d’attendre que les choses changent, elle agit, avec créativité et détermination. Et tout est parti d’une idée simple : et si, au lieu de laisser finir à la poubelle ce qui peut encore être savouré, on assumait pleinement le fait de rapporter ses restes chez soi ? Un geste qui fait la différence ! La doggy bag, ce n’est pas qu’un accessoire. C’est un symbole de changement, une invitation à repenser notre rapport à la nourriture. Grâce à des initiatives comme J’emporte mes restes, ce geste cesse d’être un tabou. Et, bientôt, ce sera simplement naturel de dire : la doggy bag.

 

FAQ

  1. Pourquoi dire la doggy bag ? Parce que c’est un objet, un outil, une habitude. Nathalie a choisi de féminiser le terme pour le rendre plus proche et plus parlant.
  2. Est-ce légal de demander une doggy bag en France ? Oui ! Depuis 2021, la loi AGEC oblige les restaurants à proposer un contenant à emporter sur demande.
  3. J’emporte mes restes fournit-il du matériel aux restaurants ? Oui, le mouvement propose des kits, des supports de communication et des contenants adaptés pour faciliter la démarche.
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Vitrophanie professionnelle pour promouvoir la doggy bag française j'emporte mes restes
Batch cooking : préparation de plusieurs repas sains en une seule session
Batch Cooking : gagnez du temps et savourez chaque repas

Dans un monde où le temps semble toujours manquer, réussir à bien manger sans passer des heures en cuisine relève parfois du défi. Pourtant, il existe une méthode simple, efficace et de plus en plus populaire

Et oui, batch cooking permet de concilier organisation, plaisir et alimentation saine. Cette technique vous permet de préparer plusieurs repas à l’avance en une seule session de cuisine, tout en conservant des plats faits maison et équilibrés. Chez jemportemesrestes.fr, nous sommes convaincus qu’il s’agit là de bien plus qu’une tendance : c’est un mode de vie qui simplifie votre quotidien.

Batch cooking : préparation de plusieurs repas sains en une seule session

Le batch cooking : un art de vivre qui simplifie votre semaine

Le batch cooking, littéralement « cuisson par lots », est une approche qui consiste à cuisiner en une seule fois les ingrédients ou plats nécessaires pour plusieurs repas à venir. Cette méthode s’adresse autant aux familles pressées qu’aux célibataires soucieux de leur alimentation, car elle réduit le stress des préparations de dernière minute et évite le recours aux plats industriels. En adoptant cette pratique, on s’engage dans une démarche proactive pour maîtriser son alimentation, réduire le gaspillage alimentaire et économiser du temps et de l’argent.

Ce concept ne se limite pas à cuisiner en grande quantité, il s’agit aussi d’anticiper et d’organiser ses repas pour toute la semaine. Cette planification intelligente permet de varier les plaisirs culinaires tout en garantissant un équilibre nutritionnel. Elle nécessite seulement une session de cuisine plus longue, souvent le week-end, qui se traduira par des soirs libérés, sans stress ni improvisation.

Pourquoi le batch cooking séduit-il autant ?

Face à la multiplication des obligations professionnelles et personnelles, il devient difficile de consacrer quotidiennement du temps à la préparation de repas sains et gourmands. Le batch cooking offre une solution clé en main, pensée pour répondre aux attentes des consommateurs modernes. Au-delà du gain de temps évident, cette méthode donne un sentiment de contrôle et de satisfaction en évitant le recours à la restauration rapide ou aux plats préparés industriels.

En outre, le batch cooking s’inscrit pleinement dans la démarche éco-responsable. En préparant ses repas en amont, on limite considérablement le gaspillage alimentaire, en utilisant les ingrédients au juste besoin et en optimisant les restes. Par ailleurs, ce mode de préparation favorise l’utilisation de produits frais et de saison, essentiels pour une alimentation saine et durable, comme le recommande le site officiel du Programme National Nutrition Santé (PNNS).

Pour les sportifs, le batch cooking est également un allié précieux, permettant de contrôler précisément les apports en protéines, glucides et lipides nécessaires à la performance et à la récupération. Mais il est accessible à tous ceux qui souhaitent manger mieux sans passer leur vie en cuisine.

Comment adopter le batch cooking sans stress ?

L’idée n’est pas de transformer la cuisine en corvée, mais au contraire d’en faire un moment structuré, plaisant et efficace. Le secret réside dans une bonne organisation, une planification réaliste et le choix de recettes simples à préparer en grande quantité. Il est important de sélectionner des plats qui se conservent bien au réfrigérateur ou au congélateur et qui peuvent être facilement réchauffés sans perdre leur saveur.

Le choix des contenants est aussi crucial pour réussir son batch cooking. Il est recommandé d’opter pour des boîtes hermétiques de qualité, adaptées au micro-ondes et au lave-vaisselle, afin de faciliter le stockage et la réutilisation. Sur jemportemesrestes.fr, vous trouverez des conseils pour bien choisir vos contenants, en privilégiant les modèles en verre ou inox qui sont à la fois durables et sains.

Un autre aspect clé pour adopter le batch cooking sans stress, surtout en sortie ou au travail, est de penser à la doggy bag, ou l’art d’« emporter ses restes ». Cette habitude permet de réduire le gaspillage alimentaire et de profiter pleinement des repas préparés à l’avance, même hors de chez soi. En choisissant des contenants adaptés, faciles à transporter et hermétiques, vous pouvez emporter vos portions restantes au bureau, en pique-nique ou en déplacement, tout en conservant la fraîcheur et la saveur de vos plats. Ce geste simple s’inscrit parfaitement dans une démarche zéro déchet et pratique, que nous valorisons particulièrement sur jemportemesrestes.fr.

Enfin, pensez à varier les textures et les saveurs pour éviter la monotonie : associez légumes croquants, céréales complètes, légumineuses et protéines maigres. N’hésitez pas à revisiter vos classiques en les adaptant à une préparation en batch cooking. Cette approche garantit des repas équilibrés et gourmands, à la fois pratiques et savoureux.

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Une main jette une salade fraîche non consommée dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.
Gaspillage alimentaire : comprendre les causes pour ne plus fermer les yeux

Jeter de la nourriture, c’est aussi jeter du temps, de l’eau, de l’énergie et du travail. Derrière chaque aliment gaspillé se cache une ressource précieuse perdue.

Chaque jour, des tonnes de nourriture encore consommable finissent à la poubelle. Le gaspillage alimentaire, souvent invisible, est pourtant l’un des enjeux majeurs de notre époque. En comprendre les origines permet d’agir efficacement à tous les niveaux de la chaîne. Derrière ce fléau se cachent des causes profondes, culturelles, économiques et comportementales.

Une main jette une salade fraîche non consommée dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.

Chaque année, des tonnes de nourriture partent à la poubelle. Ce fléau invisible nous concerne tous.

La scène se répète partout : des fruits flétris au fond du frigo, des plats oubliés sur une étagère, des produits jetés dès la date « limite » atteinte. En France, près de 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année, selon l’Agence de la transition écologique (ADEME). Ce gâchis, pourtant évitable, est provoqué par des mécanismes souvent silencieux, ancrés dans nos habitudes, notre économie et notre perception de la nourriture. Analyser les causes du gaspillage alimentaire, c’est poser les bases d’un changement durable.

La pression de la chaîne agroalimentaire : produire toujours plus, coûte que coûte

Le gaspillage commence bien avant que les aliments atteignent nos assiettes. Dans les champs, une part importante des récoltes est perdue, écartée pour des raisons de calibrage, d’apparence ou de demande fluctuante. Les fruits et légumes « moches », jugés non conformes aux standards esthétiques de la grande distribution, sont souvent abandonnés ou sous-valorisés. Les producteurs, soumis à une logique de rendement et de contrat, n’ont parfois pas les moyens logistiques pour valoriser ces invendus. Le système agroalimentaire, fondé sur une logique industrielle, incite à surproduire pour éviter la rupture de stock, au détriment de l’efficacité écologique. La restauration collective et les supermarchés ne sont pas épargnés. Un plat préparé mais non consommé est fréquemment jeté en fin de service, faute de solutions de revalorisation logistique ou réglementaire. Pourtant, des initiatives émergent pour changer la donne, comme celles recensées par le ministère de la Transition écologique, qui encourage les dons aux associations.

L’impact des dates de péremption : une confusion qui coûte cher

Un des principaux moteurs du gaspillage à domicile reste la mauvaise compréhension des dates de péremption. Il existe deux types de dates : la DLC, ou date limite de consommation, concerne la sécurité sanitaire, tandis que la DDM, ou date de durabilité minimale, indique une qualité optimale sans risque pour la santé. Or, de nombreux consommateurs jettent systématiquement les produits dès que la date est dépassée, même s’ils sont encore parfaitement consommables. Cette confusion, largement répandue, est alimentée par un manque d’éducation alimentaire. Des campagnes de sensibilisation visent à rétablir une juste interprétation de ces mentions. Repenser l’étiquetage, informer les citoyens, c’est permettre à chacun de faire des choix éclairés et responsables.

Le comportement des consommateurs : l’abondance comme norme

La société de consommation a façonné nos habitudes alimentaires autour de l’abondance. Les promotions de type « un acheté, un offert », les lots familiaux ou les formats XXL induisent des achats supérieurs aux besoins réels. Résultat : les placards se remplissent, les frigos débordent, et une partie de cette surconsommation finit inévitablement à la poubelle. Ce comportement est renforcé par un manque de planification des repas et une gestion approximative des courses. Ne pas vérifier ses stocks avant de faire ses achats, cuisiner en trop grande quantité ou ne pas valoriser les restes sont autant de gestes qui, cumulés, aggravent le gaspillage. Des outils comme le guide anti-gaspi de l’ADEME aident à adopter des réflexes simples, mais efficaces.

Une méconnaissance de la valeur de l’aliment : la rupture du lien entre production et consommation

Enfin, l’une des racines les plus profondes du gaspillage réside dans la perte de sens attachée à l’alimentation. En milieu urbain notamment, beaucoup de consommateurs n’ont plus conscience de ce que représente la production d’un aliment : le travail des agriculteurs, l’usage des ressources naturelles comme l’eau, la terre, l’énergie. Quand un aliment devient un simple produit de consommation parmi d’autres, son rejet devient banal, presque indolore. Reconnecter les citoyens à la réalité de la chaîne alimentaire permet de redonner de la valeur à ce que nous mangeons. Cela passe par des circuits courts, des marchés locaux, ou encore des projets pédagogiques dans les écoles. Le site Alimentation.gouv.fr propose des ressources pour comprendre ces enjeux et repenser nos comportements à la lumière de la transition écologique.

Vers une prise de conscience collective

Le gaspillage alimentaire n’est pas une fatalité. C’est le symptôme d’un système déconnecté, mais aussi le reflet de gestes quotidiens sur lesquels nous avons tous prise. En comprenant les causes – économiques, culturelles, comportementales et structurelles – nous pouvons progressivement inverser la tendance. Le combat contre le gaspillage ne se limite pas à quelques gestes en cuisine. Il demande une révision globale de notre rapport à la nourriture.

Des solutions existent déjà, portées par des associations, des collectivités, des startups, et des citoyens engagés. Le site jemportemesrestes.fr, à travers son action de sensibilisation au gaspillage alimentaire, s’inscrit dans cette dynamique. Rendre visible l’invisible, redonner du sens à l’alimentation, c’est aussi créer un futur plus durable et plus solidaire.

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Équipe de restaurateurs en salle, illustrant les pratiques de service et la politique du restaurant concernant le doggy ba
Un restaurateur peut-il refuser de donner une doggy bag ?

Réduire les déchets, encourager une consommation plus raisonnée et renforcer notre responsabilité écologique, voici les enjeux majeurs de notre société.

Chaque geste compte, notamment au restaurant, où une quantité non négligeable de nourriture finit à la poubelle. Depuis quelques années, la doggy bag française gagne du terrain et s’inscrit dans une démarche de préservation de nos ressources alimentaires.

Mais alors, en tant que client, avez-vous le droit d’exiger une doggy bag ? Et le restaurateur peut-il s’y opposer ?

Équipe de restaurateurs en salle, illustrant les pratiques de service et la politique du restaurant concernant le doggy ba

Depuis le 1er juillet 2021, la loi AGEC impose aux restaurants de proposer à leurs clients une solution pour emporter les restes de repas ou de boissons non consommés, article L541-15-7 du Code de l’environnement. Le restaurateur ne peut pas refuser une demande de doggy bag, sauf en cas d’abus manifeste. L’objectif est clair : faire de la lutte contre le gaspillage une responsabilité partagée entre restaurateurs et clients (article 62 de la loi EGAlim, renforcé par la loi AGEC). 

Pourquoi certains restaurateurs refusent de donner une doggy bag ?

Ils peuvent avoir des freins logistiques et culturels. Malgré la loi, certains restaurateurs peuvent encore exprimer des réticences :

  • manque de matériel d’emballage adapté 
  • coût d’achat des contenants 
  • peur d’une détérioration de l’image de l’établissement 
  • craintes sanitaires

Ces freins sont en recul, car la demande des consommateurs est de plus en plus forte et les restaurateurs comprennent l’intérêt environnemental et commercial de cette pratique.

Responsabilité sanitaire du restaurateur qui donne une doggy bag

Une fois la doggy bag remise au client, la responsabilité sanitaire du restaurateur prend fin. Cela signifie que le restaurateur n’est plus légalement responsable des conditions de conservation ou de consommation des aliments emportés. C’est alors au client de veiller à respecter les bonnes pratiques d’hygiène : transporter les restes dans un délai raisonnable, les conserver au réfrigérateur, et les consommer rapidement (idéalement sous 24 à 48 heures). Cette règle est conforme aux principes établis par le Ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, qui précise que la responsabilité est transférée dès que l’aliment sort de l’établissement. Ainsi, proposer une doggy bag ne fait pas courir de risque juridique au restaurateur, tant que les aliments remis étaient propres à la consommation au moment de leur remise.

Les bénéfices d’une politique anti-gaspi en restauration

J’emporte mes restes est bien plus qu’une simple boîte à emporter : c’est un symbole d’engagement pour une société plus responsable. En tant que leader dans la sensibilisation du grand public à la réduction du gaspillage alimentaire, cette doggy bag moderne et fièrement assumée s’inscrit dans une démarche à la fois écocitoyenne, durable et solidaire. Elle incarne plusieurs dimensions concrètes :

  • Économique : en emportant ses restes, le client valorise pleinement ce qu’il a payé. On ne jette plus une partie de son repas ; on consomme mieux, en respectant la valeur de chaque ingrédient cuisiné. Pour les restaurateurs aussi, c’est un levier de sensibilisation et de fidélisation de la clientèle.
  • Pratique : elle permet de savourer son repas plus tard, à son rythme, ou encore d’en faire bénéficier un proche ou une personne dans le besoin. C’est un geste simple, accessible, qui prolonge l’utilité de l’aliment au-delà du restaurant.
  • Écologique : en limitant le gaspillage, on réduit la pression sur les ressources naturelles : eau, énergie, sols agricoles, transport… Chaque plat sauvé de la poubelle évite des émissions de gaz à effet de serre et participe à une démarche environnementale concrète.

Adopter une telle habitude, c’est aussi faire évoluer les mentalités, casser les tabous autour de la “boîte à restes”, et encourager une nouvelle culture de consommation plus réfléchie et respectueuse. À l’échelle collective, cette politique anti-gaspi contribue à un modèle alimentaire plus durable, plus équitable et résolument tourné vers l’avenir.

Pour les restaurateurs : une image positive et durable

Fournir une doggy bag écoresponsable comme J’emporte mes restes permet de :

  • réduire les déchets produits en salle 
  • s’aligner avec les attentes d’un public de plus en plus engagé écologiquement 
  • valoriser une image de marque moderne et responsable

Il ne s’agit pas d’un simple service, mais d’un véritable levier de fidélisation à long terme.

Que faire si un restaurateur refuse de fournir une doggy bag ?

En cas de désaccord avec un restaurateur, vous pouvez d’abord vous tourner vers un médiateur de la consommation, dont le rôle est de favoriser le règlement amiable des litiges entre professionnels et clients, sans recourir à la justice. Seul le consommateur peut initier cette démarche, mais celle-ci suppose d’avoir au préalable tenté une résolution écrite du conflit directement avec le restaurateur. Gardez à l’esprit que la procédure peut s’avérer disproportionnée pour un différend mineur, comme le refus d’une doggy bag. Si la médiation n’aboutit pas, vous conservez néanmoins la possibilité de saisir un juge pour faire valoir vos droits. Vous pouvez également :

  • rappeler la loi AGEC en vigueur 
  • mentionner que la pratique est désormais attendue par une majorité de clients 
  • en dernier recours, signaler l’établissement sur le site officiel de l’état Signal Conso

La pédagogie avant tout ! La plupart des refus ne relèvent pas d’un refus de principe, mais plutôt d’un manque d’information ou de préparation logistique. Dans bien des cas, une discussion cordiale suffit à faire évoluer les choses.

En conclusion, pour une gastronomie durable, normalisons la doggy bag

La doggy bag française a encore du chemin à parcourir pour devenir une norme, mais elle est en bonne voie. Grâce à la loi AGEC, au soutien des collectivités et à une prise de conscience croissante, emporter ses restes devient un acte militant du quotidien. En tant que consommateurs, soyons acteurs du changement : réclamons nos restes avec fierté, et encourageons les établissements qui s’engagent dans cette démarche écoresponsable. Et vous, la prochaine fois au restaurant, serez-vous prêt à dire : J’emporte mes restes !

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Épluchures de légumes jetées à la poubelle — gaspillage alimentaire et solutions zéro déchet
Que faire avec les épluchures de légumes ? Astuces antigaspi !

Selon l’ADEM, un tiers des aliments produits dans le monde sont perdus ou gaspillés. Une partie de ce gaspillage pourrait pourtant être évitée simplement en changeant nos habitudes.

Chaque jour, des tonnes d’épluchures de légumes sont jetées à la poubelle. Pourtant, ces « déchets » sont loin d’être inutiles. Dans une société de plus en plus sensibilisée au gaspillage alimentaire et à la préservation de nos ressources, apprendre à valoriser ce que l’on considérait hier comme des rebuts devient un geste à la fois simple, économique et écologique.

Épluchures de légumes jetées à la poubelle — gaspillage alimentaire et solutions zéro déchet

Lorsque l’on parle de gaspillage alimentaire, on pense souvent aux produits oubliés dans le frigo ou aux restes non consommés. Mais les épluchures, fanes, tiges et peaux de légumes représentent également une part importante des aliments gaspillés. Réutiliser les épluchures, c’est donc une manière concrète de faire un geste pour la planète tout en réalisant des économies. C’est aussi l’occasion de redécouvrir des saveurs oubliées, d’enrichir son alimentation et de soutenir une démarche zéro déchet à la maison.

Épluchures de légumes : comment les cuisiner intelligemment ?

Avant de finir au compost ou, pire, à la poubelle, les épluchures de légumes méritent une seconde chance. Riches en fibres, en vitamines et en goût, elles peuvent être intégrées à de nombreuses recettes du quotidien. Avec un peu de créativité, elles deviennent des alliées précieuses pour une cuisine économique, savoureuse et respectueuse de l’environnement.

Bouillons maison : une base savoureuse et anti-gaspi

Les pelures d’oignon, les fanes de carottes, les tiges de persil, les peaux de courgettes ou encore les trognons de choux peuvent être utilisés pour réaliser un bouillon de légumes maison. Il suffit de bien les laver, de les faire revenir dans un peu d’huile, puis de les recouvrir d’eau et de laisser mijoter une trentaine de minutes. On filtre ensuite le tout : vous obtenez un bouillon savoureux, parfait comme base pour une soupe ou un risotto.

Chips et snacks écoresponsables

Les épluchures de pommes de terre ou de betteraves peuvent être transformées en chips croustillantes. Un peu d’huile, un assaisonnement au choix (paprika, herbes, curry…) et un passage au four suffisent. C’est une manière ludique de sensibiliser les plus jeunes au respect des aliments et à l’importance de ne pas gaspiller.

Purées et pestos originaux

Les épluchures peuvent aussi se transformer en ingrédients surprenants pour vos purées ou sauces. Par exemple, les fanes de radis ou de carottes, souvent jetées, peuvent être mixées avec de l’ail, des noix, de l’huile d’olive et du parmesan pour obtenir un pesto maison délicieux et vitaminé. Les épluchures de courgettes, une fois bien lavées et légèrement cuites, peuvent être intégrées à une purée pour ajouter de la texture et de la couleur à vos plats.

Farines et poudres nutritionnelles

Certaines épluchures, comme celles de pommes de terre, de carottes ou de betteraves, peuvent être déshydratées puis réduites en poudre. Ces farines alternatives sont parfaites pour enrichir les pâtes à pain, gâteaux ou pancakes tout en apportant une touche de saveur et un surplus de nutriments. Une excellente manière d’intégrer les restes au quotidien sans effort !

Infusions et tisanes détox

Saviez-vous que les épluchures de légumes peuvent aussi servir à préparer des infusions ? Les peaux de concombre, de carotte ou de betterave, infusées dans de l’eau chaude, apportent des saveurs légères et des bienfaits détoxifiants. Parfait pour accompagner un moment de détente tout en faisant un geste pour réduire les déchets.

Astuce pratique : bien laver avant toute utilisation

Un point important à ne pas négliger : avant de cuisiner ou de transformer vos épluchures, assurez-vous de bien les laver pour éliminer toute trace de terre, pesticide ou résidu. Privilégiez les légumes issus de l’agriculture biologique ou locale, pour limiter la présence de produits chimiques sur les pelures.

Vers une cuisine antigaspi alimentaire, plus durable et responsable

Donner une seconde vie aux épluchures s’inscrit dans une démarche plus globale de consommation responsable. En choisissant des légumes bio ou locaux, on limite les résidus de pesticides et on favorise une agriculture durable. En apprenant à utiliser l’intégralité des produits que l’on achète, on valorise chaque euro dépensé et on réduit notre empreinte carbone. N’oubliez pas que s’il vous reste de la nourriture, vous pouvez aussi la partager avec ceux qui ont en besoin (famille, amis, étudiants, voisins…). Pour cela, c’est simple, en tant que particulier, vous pouvez aussi acheter un pack de 10 doggy bags sur jemportemesrestes.fr parce-qu’à la Maison aussi, le gaspi c’est fini !

Sensibiliser pour changer les comportements

Apprendre à cuisiner les épluchures, c’est aussi transmettre des valeurs. Cela commence par l’éducation des enfants, à travers des ateliers cuisine ou des activités scolaires autour du compost ou du tri. Mais cela passe également par une meilleure information des adultes : nombre d’entre nous jettent encore des fanes de radis ou des tiges de brocolis simplement par habitude ou par méconnaissance. De nombreuses ressources existent pour s’informer et s’inspirer avec des recettes et des conseils pour cuisiner autrement. Des chefs s’engagent aussi sur le sujet, comme l’association Bon Pour le Climat, qui promeut une cuisine bas carbone et anti-gaspillage.

Compost : nourrir la terre plutôt que les ordures

Quand les épluchures ne sont pas comestibles ou qu’on ne souhaite pas les cuisiner, le compost reste une excellente option. En ville comme à la campagne, de plus en plus de collectivités proposent des solutions pour composter facilement. À Paris, par exemple, la mairie met à disposition des composteurs partagés et accompagne les habitants dans leur mise en place (paris.fr).

Une question de culture… et de bon sens

Il est temps de changer de regard sur les épluchures. Ce qui était considéré comme un déchet peut devenir un ingrédient à part entière. Cela ne demande ni équipement particulier, ni connaissances avancées : un peu de curiosité, une dose de bon sens, et beaucoup d’envie de faire mieux avec moins. Dans un monde confronté à des défis écologiques sans précédent, adopter des gestes simples comme réutiliser les épluchures de légumes peut sembler modeste. Mais mis bout à bout, ces petits gestes ont un impact réel. Et si la cuisine devenait l’un des premiers terrains de la transition écologique ?

En conclusion

Réutiliser les épluchures de légumes, c’est facile, économique et bon pour la planète. Que vous choisissiez de les transformer en bouillons, en snacks maison ou de les composter, chaque geste compte pour réduire le gaspillage alimentaire. En changeant vos habitudes, vous contribuez à une cuisine plus responsable, durable et créative. 👉 Alors, pourquoi jeter ce qui peut encore nourrir ? Testez dès aujourd’hui une recette antigaspi et partagez vos astuces zéro déchet autour de vous et sur nos réseaux sociaux !

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Vitrophanie professionnelle pour promouvoir la doggy bag française j'emporte mes restes
La doggybag française j'emporte mes restes est utilisée au travail, en famille, au restaurant pour réduire le gaspillage alimentaire.
Des avantages écologiques à demander une doggy bag

Le gaspillage alimentaire, un fléau mondial aux conséquences écologiques, économiques et sociales majeures.

Pourtant, un simple réflexe pourrait résoudre une partie du problème. En effet, la doggy bag permet aux clients d’un restaurant d’emporter les restes de leur repas. Longtemps associée à une culture anglo-saxonne, elle devient progressivement populaire en France, notamment sous l’effet des politiques publiques de lutte contre le gaspillage et des initiatives individuelles qui vont en ce sens.

La doggybag française j'emporte mes restes est utilisée au travail, en famille, au restaurant pour réduire le gaspillage alimentaire.

Un impact mesuré : -42 % de gaspillage alimentaire

Une étude phare menée en Écosse par l’organisation Zero Waste Scotland (projet “Good to Go”) a montré qu’une proposition systématique de doggy bags dans les restaurants permettait de réduire de 42 % le gaspillage alimentaire provenant des assiettes des clients. Mieux encore, 92 % des clients ayant emporté leurs restes les ont consommés ensuite. Cette expérience a également permis une meilleure gestion des portions et des accompagnements.

  • Des chiffres français qui appuient la tendance : en France, la restauration commerciale est responsable de 40 % du gaspillage alimentaire en phase de consommation finale, alors qu’elle ne représente que 15 % des repas consommés (source : ADEME). Une étude régionale de la DRAAF Rhône-Alpes indique que 75 % des clients seraient prêts à utiliser une doggy bag. 
  • Un cadre législatif favorable en France : depuis le 1er juillet 2021, la loi Anti-Gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) impose aux restaurateurs de proposer un contenant réutilisable ou recyclable pour les restes alimentaires. Cette obligation légale vise à banaliser l’usage de la doggy bag et à responsabiliser les professionnels comme les clients.
  • Des initiatives concrètes : focus sur “J’emporte mes restes”. Pour accompagner ce changement de pratiques, l’initiative française J’emporte mes restes soutient activement les restaurateurs et les consommateurs. Ce dispositif vise à rendre la doggy bag plus visible et plus accessible à travers la mise à disposition de kits, de contenants écoresponsables et d’une plateforme de sensibilisation. Elle permet également aux restaurants engagés d’être répertoriés et valorisés auprès des clients soucieux de limiter le gaspillage.

“Chez J’emporte mes restes, nous croyons qu’un simple geste peut transformer notre rapport à l’alimentation. Proposer un contenant pour les restes n’est pas un service en plus, c’est un engagement pour demain.”

En tant que créateurs de cette initiative écocitoyenne, nous sommes fiers d’accompagner des centaines d’établissements dans cette transition vers une restauration plus durable et responsable.

Des avantages écologiques et économiques

En plus de réduire les déchets, la doggy bag permet de valoriser la nourriture produite, d’éviter le gaspillage de ressources (eau, énergie, intrants agricoles) et de sensibiliser les consommateurs à la surconsommation. Côté restaurateurs, il peut aussi améliorer l’image de marque et répondre à une demande croissante des clients.

Comment généraliser la doggy bag en France ?

Pour que cette pratique se développe, plusieurs leviers peuvent être actionnés :

  • Former et sensibiliser le personnel de salle à proposer naturellement une doggy bag.

  • Informer les clients par affichage comme chevalet de table, vitrophanie proposés par J’emporte mes restes.

  • Prévoir des contenants esthétiques, adaptés et écoresponsables qui n’ont pas peur de se montrer.

  • Démocratiser ce geste réflexe en montrant l’exemple via une communication positive.

  • S’appuyer sur des dispositifs comme “J’emporte mes restes” pour bénéficier d’outils concrets et de visibilité.

En conclusion, la doggy bag n’est plus une option marginale mais une réponse concrète au gaspillage alimentaire en restauration. L’étude écossaise, les initiatives françaises et l’évolution du cadre légal montrent qu’une proposition systématique peut avoir un impact significatif. En adoptant ce geste simple, chacun – restaurateur ou client – devient acteur d’une alimentation plus durable.

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Vitrophanie professionnelle pour promouvoir la doggy bag française j'emporte mes restes
Une restauratrice vide un bol de salade fraîche remplie de légumes colorés dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.
Gaspillage alimentaire en France : comprendre les causes pour agir

Un enjeu environnemental, économique et éthique majeur en raison des habitudes de consommation encore peu responsables.

Chaque année, la France gaspille près de 10 millions de tonnes de nourriture consommable. Ce phénomène a des conséquences environnementales alarmantes, alourdit notre empreinte carbone et interroge notre modèle de consommation. Mais avant de chercher des solutions, il est essentiel d’identifier les causes du gaspillage alimentaire en France.

Une restauratrice vide un bol de salade fraîche remplie de légumes colorés dans une poubelle de cuisine, illustrant le gaspillage alimentaire domestique.

L’une des principales causes du gaspillage alimentaire réside dans notre comportement de consommation. Les Français jettent souvent des aliments encore comestibles, influencés par une mauvaise interprétation des dates de péremption. La confusion entre “à consommer jusqu’au” (date limite de consommation) et “à consommer de préférence avant” (date de durabilité minimale) pousse de nombreux foyers à jeter des produits toujours sains. La recherche du “toujours frais” incite aussi à renouveler les stocks domestiques trop fréquemment, créant un surplus et une obsolescence rapide de certains produits alimentaires. Ce phénomène est amplifié par la surabondance dans les supermarchés, la promotion d’achats en gros ou encore les offres “3 pour le prix de 2”, qui poussent à la surconsommation.

Le rôle de la grande distribution et de la restauration dans le gaspillage alimentaire

Les supermarchés ont longtemps eu leur part de responsabilité. Si la loi Garot de 2016 interdit désormais aux grandes surfaces de jeter leurs invendus comestibles, le tri drastique des produits jugés “non présentables” continue. Fruits légèrement tachés, légumes hors calibres ou produits proches de la date limite sont écartés par souci d’esthétique ou de rentabilité.

Dans le secteur de la restauration, les portions trop généreuses et le manque de solutions de doggy bag écoresponsable contribuent au gaspillage. Malgré une meilleure sensibilisation du grand public, le réflexe de demander à emporter ses restes reste encore peu ancré en France. Pourtant, des initiatives comme la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi AGEC) encouragent désormais les restaurants à proposer systématiquement des contenants à emporter.

Des conséquences lourdes sur l’environnement et les ressources

Le gaspillage alimentaire ne se limite pas à une perte de nourriture. Il représente un gaspillage massif des ressources naturelles : eau, terres agricoles, énergie pour la production, la transformation et le transport. En France, près de 20 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur alimentaire sont liées à la nourriture gaspillée. À l’échelle mondiale, si le gaspillage alimentaire était un pays, il serait le troisième émetteur de CO₂ après la Chine et les États-Unis. Réduire ce gaspillage, c’est donc préserver nos ressources tout en luttant contre le dérèglement climatique.

Une prise de conscience collective des causes du gaspillage alimentaire en France

  • Les ménages : un levier d’action essentiel ? Les foyers sont responsables d’environ 33 % du gaspillage alimentaire en France. Il existe pourtant des gestes simples pour y remédier : planifier ses repas, cuisiner les restes, congeler les excédents, ou apprendre à lire les étiquettes correctement. Des plateformes telles que Too Good To Go ou Phenix permettent également de sauver des produits invendus à prix réduit, tout en sensibilisant les consommateurs.
  • L’éducation et les campagnes publiques : des campagnes de sensibilisation portées par l’ADEME (Agence de la transition écologique) visent à informer le public et à diffuser les bonnes pratiques. Les écoles intègrent de plus en plus la question du gaspillage alimentaire dans leurs programmes, afin d’ancrer de nouvelles habitudes dès le plus jeune âge.

Le retour du doggy bag à la française : l’initiative engagée de jemportemesrestes.fr pour réduire le gaspillage alimentaire en France

Longtemps marginalisé dans la culture française, le doggy bag fait aujourd’hui un retour remarqué grâce à des initiatives innovantes comme jemportemesrestes.fr. Ce projet engagé œuvre activement pour changer les mentalités autour du gaspillage alimentaire en valorisant le réflexe d’emporter ses restes au restaurant. À travers des contenants écoresponsables, élégants et conformes aux normes sanitaires, jemportemesrestes.fr facilite l’adoption d’un geste simple mais encore trop peu répandu. En sensibilisant aussi bien les restaurateurs que les consommateurs, la plateforme contribue concrètement à ancrer une nouvelle habitude, à la fois utile pour la planète et respectueuse du repas servi. Une belle manière de réconcilier plaisir de la table et préservation des ressources.

Une responsabilité partagée et une dynamique encourageante

La lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite l’implication de tous : citoyens, entreprises, collectivités locales et pouvoirs publics. La mise en place de lois ambitieuses, couplée à une évolution des mentalités, porte déjà ses fruits. Mais le chemin reste long.

Pour aller plus loin, vous pouvez consulter :

En réduisant le gaspillage, nous participons à un changement profond de notre modèle de consommation. Un geste simple, mais crucial, pour préserver nos ressources, notre planète et notre humanité.

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Vitrophanie professionnelle pour promouvoir la doggy bag française j'emporte mes restes
Cinq bonnes raisons pour proposer une doggy bag quand on est un professionnel de la restauration.
5 raisons pour que les restaurants proposent une doggy bag

Proposer une doggy bag en restaurant n’est pas seulement un geste écologique, c’est aussi un levier d’image, de satisfaction client et d’économie durable.

Souvent associée à la culture anglo-saxonne, la doggy bag française s’impose aujourd’hui comme un geste de bon sens, à la fois écologique, économique et respectueux du client. Dans un contexte où la préservation des ressources devient un enjeu majeur, proposer une doggy bag n’est plus une option marginale, mais une véritable preuve d’engagement. Voici cinq bonnes raisons pour lesquelles tout restaurant devrait proposer une doggy bag écoresponsable à sa clientèle.

Cinq bonnes raisons pour proposer une doggy bag quand on est un professionnel de la restauration.

En France, près de 10 millions de tonnes de nourriture sont gaspillées chaque année, dont une part significative provient de la restauration. Face à cette réalité préoccupante, la doggy bag apparaît comme une solution simple, efficace et respectueuse de l’environnement. Longtemps perçue comme une pratique anglo-saxonne, cette habitude gagne enfin du terrain dans l’Hexagone. Et pour cause : proposer une doggy bag en restaurant n’est pas seulement un geste écologique, c’est aussi un levier d’image, de satisfaction client et d’économie durable. Adoptée avec intelligence, cette pratique permet de réduire considérablement les déchets, d’améliorer l’expérience client et de renforcer l’image d’un établissement soucieux de son impact. 

Réduire le gaspillage alimentaire en salle comme en cuisine

La première raison, évidente, est la réduction du gaspillage alimentaire. Les portions servies dans les restaurants sont parfois trop généreuses ou simplement mal adaptées à l’appétit de chacun. Lorsque les clients ne finissent pas leur plat, les restes partent directement à la poubelle. Offrir la possibilité d’emporter ces restes grâce à une doggy bag écoresponsable permet d’éviter cette perte inutile. D’un point de vue éthique comme environnemental, il devient urgent de limiter ce type de gaspillage. Les ressources naturelles nécessaires à la production de la nourriture – eau, énergie, terres agricoles – sont précieuses. Ne pas les gaspiller est un acte concret de préservation de nos ressources. Chaque repas sauvé, même partiellement, compte.

Valoriser une image de restaurant engagé et moderne

Aujourd’hui, les consommateurs sont de plus en plus sensibles à l’impact écologique de leurs choix. Proposer une doggy bag permet au restaurateur de se positionner comme un acteur engagé dans la lutte contre le gaspillage. C’est aussi un signe d’adaptation aux nouvelles attentes sociétales : celles d’une restauration plus responsable, durable et transparente. Les établissements qui prennent cette initiative renforcent leur image de marque écoresponsable. Cette démarche est perçue comme positive, innovante, et soucieuse du bien commun. Elle s’inscrit dans une logique de responsabilité sociale des entreprises, souvent valorisée sur les réseaux sociaux ou les plateformes d’avis.

Améliorer l’expérience et la fidélité client

Proposer une doggy bag, c’est aussi montrer de l’attention pour le client. Beaucoup de consommateurs, par gêne ou par manque d’information, n’osent pas demander à emporter leurs restes. En normalisant cette pratique, le restaurateur simplifie la démarche et offre une expérience plus agréable. Un client satisfait, qui peut prolonger son repas chez lui sans culpabiliser, sera plus enclin à revenir. Il appréciera le geste, la qualité du service, et la liberté de consommer selon ses envies. La doggy bag française devient alors un outil subtil mais efficace de fidélisation. De plus, dans certains contextes (repas d’affaires, rendez-vous galants, déjeuners pressés), le client peut ne pas vouloir finir son assiette sur place mais souhaite profiter pleinement de ce qu’il a payé. Lui offrir une solution pratique et élégante d’emport, c’est répondre à ses besoins avec intelligence.

Une obligation qui s’inscrit dans la loi française

Depuis le 1er juillet 2021, les restaurants servant plus de 180 couverts par jour ont l’obligation de proposer une solution de doggy bag à leurs clients. Cette mesure, prévue par la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), vise à généraliser la pratique et à responsabiliser le secteur de la restauration. Au-delà de la contrainte légale, c’est une réelle opportunité pour les restaurateurs d’adopter une démarche proactive. Ceux qui anticipent et intègrent ces changements avec cohérence pourront en tirer des bénéfices économiques, mais aussi en termes de notoriété. Il ne s’agit pas seulement de se conformer à la loi, mais de la dépasser, en choisissant par exemple un emballage recyclable, compostable ou consigné, conçu localement. Une doggy bag made in France, conçue avec des matériaux durables, renforce encore la dimension écologique et responsable de l’offre.

Encourager une culture de consommation plus durable

Instaurer l’habitude de la doggy bag dans les mœurs françaises, c’est aussi œuvrer à une éducation collective. Cela implique de changer les mentalités : non, emporter ses restes n’est pas une preuve de radinerie, mais bien un choix éclairé, responsable et moderne. Les restaurateurs ont un rôle pédagogique à jouer. En communiquant sur leur démarche, en affichant clairement la possibilité d’emporter son repas, ils contribuent à faire évoluer les comportements. Et cette dynamique profite à l’ensemble de la société : moins de déchets, plus de conscience écologique, et une meilleure valorisation des aliments. De nombreuses initiatives locales voient le jour pour accompagner cette transition, comme des labels anti-gaspillage, des campagnes de sensibilisation ou des partenariats entre restaurateurs et entreprises d’emballages durables.

Conclusion : un petit geste aux grands effets

La doggy bag en France comme l’est J’emporte mes restes est une réponse concrète à des enjeux environnementaux, économiques et sociaux majeurs. Pour les restaurateurs, adopter cette pratique, c’est faire preuve de bon sens, de responsabilité et d’ouverture. En intégrant cette démarche à leur quotidien, ils participent activement à la préservation de nos ressources naturelles, à la réduction du gaspillage alimentaire, et à la construction d’un modèle de consommation plus respectueux. Un geste simple, mais porteur de grands changements.

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Comment adopter les bons gestes au restaurant pour limiter le gaspillage alimentaire ?
Adoptez les bons gestes anti-gaspi au restaurant

Chaque repas pris à l’extérieur peut devenir une occasion d’agir contre le gaspillage alimentaire. Trop souvent, la responsabilité est perçue comme celle des restaurateurs seuls.

En France, les pertes en restauration représentent une part significative du gaspillage global, et pourtant, une grande partie pourrait être évitée. En réalité, les clients ont aussi un véritable pouvoir d’action. En adoptant quelques réflexes simples, il est possible de limiter les restes, encourager les bonnes pratiques… et participer à une transition vers une consommation plus responsable. 

Comment adopter les bons gestes au restaurant pour limiter le gaspillage alimentaire ?

Mieux commander pour mieux consommer

Tout commence au moment de la commande. Par habitude ou par gourmandise, il peut vous arriver de choisir un plat trop copieux ou un menu complet sans vraiment anticiper votre appétit. Résultat : une partie finit parfois à la poubelle. En prenant le temps de poser une ou deux questions au serveur – sur la taille des portions ou les accompagnements – vous pouvez ajuster votre commande selon votre faim réelle. Ce petit réflexe permet d’éviter les excès, et donc le gaspillage alimentaire.

Certaines personnes n’osent pas refuser le pain, les frites ou la salade, même si elles n’en ont pas envie. Pourtant, en le précisant dès le début, vous limitez ce qui sera servi… et donc jeté. Une manière simple de faire votre part, sans rien sacrifier au plaisir de manger.

Et si vous partagiez ?

Partager un plat ou choisir une entrée pour deux peut être une excellente manière d’éviter les restes. Cela permet aussi de goûter à plusieurs saveurs sans risquer de trop manger. Cette habitude, courante dans de nombreux pays, gagne du terrain en France. Elle se prête particulièrement bien aux repas entre amis, collègues ou en couple. En réduisant les quantités commandées, vous limitez les pertes tout en favorisant la convivialité.

Ne laissez plus vos restes derrière vous

C’est probablement le geste le plus évident… et pourtant encore trop peu adopté. Demander à emporter les restes de votre assiette devrait devenir un réflexe. Et pourtant, combien de clients osent réellement le faire ? Par gêne, par peur de déranger ou simplement par habitude, beaucoup hésitent encore. Heureusement, les mentalités évoluent. De plus en plus de restaurants proposent spontanément un doggy bag – ou sac à emporter. Certains vont même plus loin en affichant clairement leur engagement contre le gaspillage alimentaire. C’est ici qu’intervient la plateforme jemportemesrestes.fr : elle référence les établissements qui encouragent activement cette démarche. Grâce à elle, vous pouvez facilement repérer les restaurants où emporter vos restes est valorisé et encouragé.

Changer les habitudes, un repas à la fois

Adopter ces gestes ne vous demande aucun sacrifice. Il ne s’agit pas de vous priver, mais simplement de consommer avec un peu plus de conscience. Chaque petit geste compte. Car, en fin de compte, le gaspillage alimentaire en restauration est souvent la somme de petits gaspillages individuels. En inversant la tendance, client après client, nous contribuons collectivement à faire évoluer la culture du repas. Et au-delà de vos propres gestes, votre comportement peut inspirer. Lorsque vous demandez un contenant pour emporter vos restes, vous montrez l’exemple. Vous adressez un signal positif au restaurateur, à votre entourage, aux autres clients. Vous contribuez à faire du réflexe “J’emporte mes restes” une norme plutôt qu’une exception.

Des restaurateurs de plus en plus engagés

La bonne nouvelle, c’est que les restaurateurs se mobilisent eux aussi. Certains proposent désormais des portions modulables, d’autres intègrent des produits issus de surplus (pain rassis, fanes, fruits mûrs) dans leurs recettes. Beaucoup s’équipent de contenants réutilisables ou consignés pour faciliter l’emport de restes. En tant que client, vous avez le pouvoir de soutenir ces initiatives. Comment ? En choisissant ces établissements, en parlant d’eux sur les réseaux sociaux, en laissant un avis positif. Un mot d’encouragement suffit parfois à renforcer l’engagement d’un restaurateur. Grâce à jemportemesrestes.fr, vous pouvez les trouver facilement et les encourager activement.

Ensemble, construisons une nouvelle manière de consommer

Le gaspillage alimentaire au restaurant n’est pas une fatalité. Avec un peu de bon sens, de bienveillance et quelques nouveaux réflexes, chacun peut contribuer à une transformation positive. Ce changement n’est ni contraignant, ni austère : il est au contraire synonyme de plaisir, d’impact et de cohérence avec les enjeux de notre époque. Alors, la prochaine fois que vous sortez manger, pensez-y. Commandez selon votre appétit. Et comme le rappelle J’emporte mes restes : “Si t’as plus faim, garde-en pour demain !” Un petit geste pour vous, un grand pas pour la planète.

Passez à l’action dès maintenant

Trouvez facilement des restaurants engagés près de chez vous sur jemportemesrestes.fr et rejoignez une communauté de gourmets responsables. Parlez-en autour de vous, partagez cet article, et contribuez à faire entrer le réflexe anti-gaspi dans les habitudes. Ensemble, changeons les codes de la restauration, assiette après assiette.

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